Presse / Medien
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Re: Presse / Medien
hs16 a écrit:
@hs16, je comprends pas du tout ton alarmisme, ce long monologue qui annonce tous les deux posts l'inéluctable faillite de Gottéron. Aurais-tu oublié de prendre ton anti-dépresseur?
Phillot ou pas, ça ne change rien à la situation qui est certes difficile, mais loin d'être désespérée.
Tu me fais, comme il est de coutume, dire ce que je n'ai pas écrit... Et comme toujours, libre à toi de contrer mes posts par des arguments valables, je suis le premier à me laisser convaincre que c'est un moment difficile à passer mais que l'avenir s'annonce radieux.
Mais je suis d'accord que Phillot ou non, la situation est ce qu'elle est. On a souvent qualifié Gotteron de "poule sans tête", dans le cas présent on peut véritablement se demander qui est vraiment la "tête pensante" de ce club.
La seule news, c'est que Phillot s'en va. Et toi, tu n'as que les mots dette, galère financière et mendicité au clavier. Je te rassure, on n'est pas encore à Ambri ici.
C'est bon, ça va, on a compris que la saison est pénible et qu'elle laissera peut-être des traces, mais ça sert à rien de paniquer à chaque annonce alors qu'on a pas 20% de la donne entre les mains. Enfin c'est l'impression que ça me donne quand je lis tes posts sur les 4 dernières pages. Mais peut-être que j'interprète mal.
Avant tu nous mettais en garde contre la LNB qui nous guette et maintenant c'est les soucis d'argent... voilà quoi.. on choisit quel pont pour sauter? y en a tellement à Fribourg
money time- Novice
- Messages : 487
Date d'inscription : 04/02/2014
Re: Presse / Medien
Pas mieux. En ce moment on sent plutôt que le vent tourne en notre faveur.money time a écrit:hs16 a écrit:
@hs16, je comprends pas du tout ton alarmisme, ce long monologue qui annonce tous les deux posts l'inéluctable faillite de Gottéron. Aurais-tu oublié de prendre ton anti-dépresseur?
Phillot ou pas, ça ne change rien à la situation qui est certes difficile, mais loin d'être désespérée.
Tu me fais, comme il est de coutume, dire ce que je n'ai pas écrit... Et comme toujours, libre à toi de contrer mes posts par des arguments valables, je suis le premier à me laisser convaincre que c'est un moment difficile à passer mais que l'avenir s'annonce radieux.
Mais je suis d'accord que Phillot ou non, la situation est ce qu'elle est. On a souvent qualifié Gotteron de "poule sans tête", dans le cas présent on peut véritablement se demander qui est vraiment la "tête pensante" de ce club.
La seule news, c'est que Phillot s'en va. Et toi, tu n'as que les mots dette, galère financière et mendicité au clavier. Je te rassure, on n'est pas encore à Ambri ici.
C'est bon, ça va, on a compris que la saison est pénible et qu'elle laissera peut-être des traces, mais ça sert à rien de paniquer à chaque annonce alors qu'on a pas 20% de la donne entre les mains. Enfin c'est l'impression que ça me donne quand je lis tes posts sur les 4 dernières pages. Mais peut-être que j'interprète mal.
Avant tu nous mettais en garde contre la LNB qui nous guette et maintenant c'est les soucis d'argent... voilà quoi.. on choisit quel pont pour sauter? y en a tellement à Fribourg
Tchôlololô!!- NLB player
- Messages : 1831
Date d'inscription : 27/01/2014
Re: Presse / Medien
hs16 a écrit:jukka4ever a écrit:Le président démissionne, d'accord. Mais je ne vois pas pourquoi on discuterait d'un départ du Groupe e ou de la BCF.. Je ne vois pas le lien. D'autant qu'en démissionnant, nos deux sponsors principaux auront tout loisir de placer à la tête du club une personne servant au mieux leurs intérêts.
Prenons cette démission comme le point de départ d'un renouveau, celui d'un Gottéron encore plus ambitieux..
Les points de départ de renouveau on en voit bientôt toutes les semaines depuis janvier dernier...
La question était double à mon avis:
* Qui va éponger la dette de la saison actuelle? Et avec un club qui "navigue à vue", ça peut rapidement devenir n'importe quoi financièrement parlant. Peut-on se permettre un nouveau "après RVM"?
* Est-ce que les sponsors principaux l'ont poussé dehors parce qu'ils avaient quelqu'un de mieux disposé à disposition, ou est-ce qu'il en avait marre et s'est barré? L'un ou l'autre cas ne signifie absolument pas du tout la même situation!
Niveau ambitions les propos de Berger dans le journal du jour étaient assez clair: on est mal barré aujourd'hui et on a 3 mois de retard sur la campagne de transfert à venir.
Je me réjouis de voir comment ce club pourra aller mendier des moyens financiers au canton et à la ville qui se serrent les deux sérieusement la ceinture pour aller se construire une patinoire, alors que sportivement et administrativement ça toussote et ça fuit dans tous les côtés. Il faudra un sacré meneur d'homme pour arriver à convaincre son monde!
J'allais le dire et j'aurais pas dit mieux je croix...
Surtout sur le point du départ d'un renouveau. Hier à la buvette c'était pas la même fille qui m'a servie ma bière, je me suis dit tient, c'est sûrement le départ d'un renouveau avec de nouvelles têtes:-)
Par contre le commentaire de Marc-André Berset à Sport dernière disant qu'il a l'impression qu'en coulisse le Gottéron de cette saison est entrain de ressembler à celui d'il y a 10 ans en arrière est un poil fort mais pas tout faux...
Siffletgott- Piccolo
- Messages : 163
Date d'inscription : 02/03/2014
Re: Presse / Medien
L'interview de Vorlet dans la Liberté est pas mal. Il veut une commission technique... Ca me parait être la meilleur solution, plutôt qu'un directeur technique.
Tchôlololô!!- NLB player
- Messages : 1831
Date d'inscription : 27/01/2014
Re: Presse / Medien
Tchôlololô!! a écrit:L'interview de Vorlet dans la Liberté est pas mal. Il veut une commission technique... Ca me parait être la meilleur solution, plutôt qu'un directeur technique.
c'est une idée, si ce ne sont pas des charlots qui la compose.
Franchement, je ne sais pas à quel point on peut se passer d'un directeur technique, d'un responsable de la communication et d'un entraîneur des gardiens de nos jours.
Pour avoir vu d'autres clubs de l'intérieur (je ne suis pas dans le secret des dieux, on est bien d'accord, mais on va dire que j'ai eu le loisir de faire le tour des coulisses), je les sens tout de même bien mieux armés que nous au niveau du staff. A Gottéron, c'est quand même une jolie forme d'amateurisme qui prédomine avec un Berger homme à tout faire et un Matte en chef scout, ce n'est pas sérieux.
On nous raconte à longueur d'années qu'on est dans l'ère du hockey business et on est équipé comme il y a 20 ans.
money time- Novice
- Messages : 487
Date d'inscription : 04/02/2014
Re: Presse / Medien
Ben voilà ça part dans tous les sens, on attaque sur tous les sujets, on écrit ce qu'on veut sans aucune vérification. On dirait que certains veulent à tout prix tout détruire et critiquer.
Si je prends l'exemple de l'affluence, on peut dire qu'elle est bonne malgré ce début de championnat catastrophique. A ce que je vois dans les autres patinoires, il n'y en a pas beaucoup qui jouent à guichets fermés.
Concernant la coupe et la CHL, il y avait certes mieux à faire, niveau publicité par exemple, mais le cœur n'était pas à la fête avec ce début de championnat catastrophique.
Tout n'est pas à jeter, il y a un gros boulot de reconstruction à plusieurs niveaux et ce n'est pas en démolissant tout ce qui est fait et proposé, qu'on va s'en sortir.
Si je prends l'exemple de l'affluence, on peut dire qu'elle est bonne malgré ce début de championnat catastrophique. A ce que je vois dans les autres patinoires, il n'y en a pas beaucoup qui jouent à guichets fermés.
Concernant la coupe et la CHL, il y avait certes mieux à faire, niveau publicité par exemple, mais le cœur n'était pas à la fête avec ce début de championnat catastrophique.
Tout n'est pas à jeter, il y a un gros boulot de reconstruction à plusieurs niveaux et ce n'est pas en démolissant tout ce qui est fait et proposé, qu'on va s'en sortir.
Saint-Léonard- NLA player
- Messages : 2736
Date d'inscription : 31/01/2014
Re: Presse / Medien
Saint-Léonard a écrit:Ben voilà ça part dans tous les sens, on attaque sur tous les sujets, on écrit ce qu'on veut sans aucune vérification. On dirait que certains veulent à tout prix tout détruire et critiquer.
Si je prends l'exemple de l'affluence, on peut dire qu'elle est bonne malgré ce début de championnat catastrophique. A ce que je vois dans les autres patinoires, il n'y en a pas beaucoup qui jouent à guichets fermés.
Concernant la coupe et la CHL, il y avait certes mieux à faire, niveau publicité par exemple, mais le cœur n'était pas à la fête avec ce début de championnat catastrophique.
Tout n'est pas à jeter, il y a un gros boulot de reconstruction à plusieurs niveaux et ce n'est pas en démolissant tout ce qui est fait et proposé, qu'on va s'en sortir.
C'est bien le problème. Selon toi (et les gens qui pensent pareil), y faut être de bonne humeur pour éventuellement avoir envie de se donner et pas seulement "éviter de se blesser"... Mais M.ERDE! C'est une compétition officielle, pas un Grümpelturnier! Qui plus est, le club a investi financièrement dans la CHL et en Coupe, y avait un paquet de pognon à se faire en 5 matchs!
Tant qu'on aura cette mentalité "N'Goy" dans le vestiaire ("je veux surtout pas me fouler plus que le minimum"), on arrivera jamais à rien.
Je commence gentiment à me dire que ce grand c.on de Michel Zeiter avait peut-être raison ...
lyoba86- Piccolo
- Messages : 138
Date d'inscription : 20/01/2014
Age : 38
Re: Presse / Medien
Aus dem Tages-Anzeiger.
P.S. Auf der Eismaschine könnten wir tatsächlich einen besseren Mann gebrauchen.
Ein Phänomen mit vielen Talenten
Greg Mauldin ist Fribourgs Schlüsselspieler und Erfolgsfaktor. Er schiesst Tore, könnte aber auch die Eismaschine bedienen.
http://www.tagesanzeiger.ch/sport/hockey/Ein-Phaenomen-mit-vielen-Talenten/story/19373822
Dass zwei Metallplatten seinen Kiefer zusammenhalten, sieht man Greg Mauldin nicht an. Nötig machte sie ein abgelenkter Puck im Training unmittelbar vor Meisterschaftsbeginn, der 32-Jährige merkte sofort, dass etwas nicht stimmte. «Ein paar Zähne waren nicht mehr am richtigen Ort» erinnert er sich. Es war ein schmerzhafter Moment für Mauldin, der danach mit gebrochenem Kiefer vier Wochen pausieren musste. Und es war ein fataler für Fribourg. Als der Amerikaner am 4. Oktober sein Comeback gab, lag sein ambitionierter Club auf dem zweitletzten Tabellenplatz.
Mauldin sitzt an einem Tisch im Freiburger Stadioncafé und blickt zurück. Seine Augen sind lebhaft, er lacht oft beim Sprechen, die Hände erzählen mit. Sein linkes Handgelenk schmückt ein Gummiarmband mit der Aufschrift «Be phenomenal or be forgotten». Es ist das Motto eines Motivationsgurus aus den USA, es könnte aber auch über Mauldins Wirken bei Fribourg stehen. Keiner vergass ihn, als er fehlte. Und als er zurückkam, war er phänomenal.
Das lässt sich mit Zahlen belegen. In den 10 Spielen ohne Mauldin holte Gottéron bloss sieben Punkte, 0,7 pro Partie. In den 15 Spielen, bei denen er mittat, waren es 23 – im Schnitt fast doppelt so viele. Im Monat November sorgte der Amerikaner mit 11 Skorerpunkten aus 9 Spielen dafür, dass Fribourg wenigstens den Anschluss an die Playoff-Plätze wieder schaffte. Die bei weitem beste Plus-minus-Bilanz im Team (+ 9) hat er auch. «Darauf bin ich wirklich stolz», erklärt er, «ich hasse es, wenn der Gegner gegen mich ein Tor macht.»
Spitzname «Barracuda»
Dieser Satz sagt mehr über den Spieler Mauldin als all seine Skorerwerte. Und weil das auf den Tribünen so gut spürbar ist, wurde er nach seiner Ankunft vor drei Jahren schnell zum Liebling der Freiburger Fans. Sie tauften ihn «Barracuda» nach dem französischen Namen der Figur, die der Schauspieler Mr. T in der TV-Serie «Das A-Team» verkörpert. Den markanten Look mit Backenbart und Irokesenschnitt hatte Mauldin im Playoff 2013 getragen, als sein Club in den Final vorstiess.
Eine «wunderbare Zeit» sei das gewesen, sagt der Amerikaner. Und er hat mehr Vergleichsmöglichkeiten als die meisten Kollegen. Als Teenager schlief er regelmässig auf Eierschachteln in der Eishalle. Zwischen seiner ersten und seiner zweiten Chance in der NHL lagen sechs Jahre, die ihn tief in die schwedische Provinz führten, wo er niemanden kannte und die Sprache nicht verstand. Zu Fribourg kam er dank Youtube. Und dass er überhaupt Eishockey spielt, verdankt er einem Zufall.
Mit sechs Jahren erstmals live dabei
Sechs Jahre alt war Gregory, als eine Auswahl ehemaliger Stars der Boston Bruins in einem Wohltätigkeitsspiel gegen ein lokales Polizeiteam antrat. Jemand gab seiner Mutter Tickets, also gingen die beiden hin. «Es wurde viel herumgealbert, überall waren Kinder, und nachher konnten wir die Spieler treffen», erzählt Mauldin. Es war der erste Sportanlass, den er live erlebte. Und er fragt sich seither immer wieder: «Was wäre passiert, wenn ich zuerst Basketball oder Football gesehen hätte?»
Auch der Vater, ein früherer Marine-Offizier, der für IBM arbeitete, war bald mit der neuen Leidenschaft konfrontiert. «Wir schauten uns die Spiele der Bruins im TV an und lernten den Sport zusammen kennen», erinnert sich der Sohn, «das war wie ein gemeinsames Hobby.»
Schlittschuhe von der Heilsarmee
Die Mauldins lebten in Holliston, einer gutbürgerlichen Kleinstadt eine halbe Stunde westlich von Boston. «Viel los ist dort nicht», sagt der Sohn. Sein Alltag war stark strukturiert, und weil es im Ort selbst keine Eishalle gab, chauffierten die Eltern ihren Sprössling eben in die Nachbargemeinde. Die ersten paar Schlittschuhe kauften sie für sechs Dollar bei der Heilsarmee. «Sie dachten wohl, dass ich nach ein paar Stürzen wieder genug haben würde.»
Dem war nicht so. Vielmehr stürzte sich der Sohn so sehr in seinen Sport, dass er während der Highschool-Zeit begann, in der Eishalle zu jobben, um möglichst oft trainieren zu können. Er lernte Schlittschuhe schleifen und die Eismaschine bedienen. Er wickelte ein Frotteetuch um einen Hockeyhandschuh, damit er ein Kissen hatte für das Bett, das er aus leeren Eierkartons improvisierte. Nachdem er am Abend den Rink präpariert hatte, konnte er morgens allein als Erster aufs Eis. Und seine Eltern waren froh, dass sie wussten, wo er war. «Damals gab es ja noch keine Handys», sagt Mauldin und lacht.
Wendepunkt Oskarshamn
Auch im Winter 2006/07, sein Vater war inzwischen gestorben, wusste die Mutter wieder, wo Gregory war: in Oskarshamn. Mauldins Karriere schien nach nur 6 NHL-Spielen mit Columbus und fast einem Jahrzehnt in tieferen Ligen in der Sackgasse. Er sollte dem Club aus der zweithöchsten schwedischen Liga beim Klassenerhalt helfen, die Mutter kam ihn für eine Woche besuchen. «Doch nach 15 Minuten hatte ich ihr den ganzen Ort gezeigt», erzählt Mauldin. Die letzten vier Tage verbrachte sie dann lieber im nahen Stockholm.
Der Sohn blieb – und nennt das im Rückblick «das Beste, was mir je passiert ist». Ausser dem Provinzclub Oskarshamn hatte sich niemand für den Stürmer interessiert, der in der AHL nie als Skorer galt. Er war 24, fremd und ganz auf sich allein gestellt. Er habe die Situation gehasst, sagt er, doch sie sei ein Augenöffner gewesen: «Ich habe mich selbst besser verstehen gelernt. Und ich habe gelernt, was es heisst, Profi zu sein: bei der Vorbereitung und in jedem einzelnen Spiel.»
Die Fankurve von Fribourg auf Youtube
Mit der Lektion Oskarshamn ging es aufwärts – langsam, aber stetig. Und nach zwei weiteren AHL-Saisons kehrte Mauldin 2009 tatsächlich in die NHL zurück, mit 28 Jahren und wider jede Wahrscheinlichkeit. Nach 29 Spielen mit Colorado war das Abenteuer zwar vorbei, doch für Mauldin lohnte es sich: Auf dem Transfermarkt war er plötzlich ein gefragter Mann. Nach Deutschland oder Schweden hätte er 2012 gehen können, als in der NHL der Lock-out drohte und Europa bessere Perspektiven bot. Mauldin sah sich auf Youtube Videos aus diversen Ligen an. Er sah die Fankurve von Fribourg. Und er wusste: «Da will ich hin.»
Bereut hat Mauldin diese Entscheidung nie. Vor zwei Wochen verlängerte er einen Vertrag bis 2017. Zwei weitere Jahre, um phänomenal zu sein.
(Tagesanzeiger.ch/Newsnet)
(Erstellt: 01.12.2014, 23:34 Uhr)
P.S. Auf der Eismaschine könnten wir tatsächlich einen besseren Mann gebrauchen.
Ein Phänomen mit vielen Talenten
Greg Mauldin ist Fribourgs Schlüsselspieler und Erfolgsfaktor. Er schiesst Tore, könnte aber auch die Eismaschine bedienen.
http://www.tagesanzeiger.ch/sport/hockey/Ein-Phaenomen-mit-vielen-Talenten/story/19373822
Dass zwei Metallplatten seinen Kiefer zusammenhalten, sieht man Greg Mauldin nicht an. Nötig machte sie ein abgelenkter Puck im Training unmittelbar vor Meisterschaftsbeginn, der 32-Jährige merkte sofort, dass etwas nicht stimmte. «Ein paar Zähne waren nicht mehr am richtigen Ort» erinnert er sich. Es war ein schmerzhafter Moment für Mauldin, der danach mit gebrochenem Kiefer vier Wochen pausieren musste. Und es war ein fataler für Fribourg. Als der Amerikaner am 4. Oktober sein Comeback gab, lag sein ambitionierter Club auf dem zweitletzten Tabellenplatz.
Mauldin sitzt an einem Tisch im Freiburger Stadioncafé und blickt zurück. Seine Augen sind lebhaft, er lacht oft beim Sprechen, die Hände erzählen mit. Sein linkes Handgelenk schmückt ein Gummiarmband mit der Aufschrift «Be phenomenal or be forgotten». Es ist das Motto eines Motivationsgurus aus den USA, es könnte aber auch über Mauldins Wirken bei Fribourg stehen. Keiner vergass ihn, als er fehlte. Und als er zurückkam, war er phänomenal.
Das lässt sich mit Zahlen belegen. In den 10 Spielen ohne Mauldin holte Gottéron bloss sieben Punkte, 0,7 pro Partie. In den 15 Spielen, bei denen er mittat, waren es 23 – im Schnitt fast doppelt so viele. Im Monat November sorgte der Amerikaner mit 11 Skorerpunkten aus 9 Spielen dafür, dass Fribourg wenigstens den Anschluss an die Playoff-Plätze wieder schaffte. Die bei weitem beste Plus-minus-Bilanz im Team (+ 9) hat er auch. «Darauf bin ich wirklich stolz», erklärt er, «ich hasse es, wenn der Gegner gegen mich ein Tor macht.»
Spitzname «Barracuda»
Dieser Satz sagt mehr über den Spieler Mauldin als all seine Skorerwerte. Und weil das auf den Tribünen so gut spürbar ist, wurde er nach seiner Ankunft vor drei Jahren schnell zum Liebling der Freiburger Fans. Sie tauften ihn «Barracuda» nach dem französischen Namen der Figur, die der Schauspieler Mr. T in der TV-Serie «Das A-Team» verkörpert. Den markanten Look mit Backenbart und Irokesenschnitt hatte Mauldin im Playoff 2013 getragen, als sein Club in den Final vorstiess.
Eine «wunderbare Zeit» sei das gewesen, sagt der Amerikaner. Und er hat mehr Vergleichsmöglichkeiten als die meisten Kollegen. Als Teenager schlief er regelmässig auf Eierschachteln in der Eishalle. Zwischen seiner ersten und seiner zweiten Chance in der NHL lagen sechs Jahre, die ihn tief in die schwedische Provinz führten, wo er niemanden kannte und die Sprache nicht verstand. Zu Fribourg kam er dank Youtube. Und dass er überhaupt Eishockey spielt, verdankt er einem Zufall.
Mit sechs Jahren erstmals live dabei
Sechs Jahre alt war Gregory, als eine Auswahl ehemaliger Stars der Boston Bruins in einem Wohltätigkeitsspiel gegen ein lokales Polizeiteam antrat. Jemand gab seiner Mutter Tickets, also gingen die beiden hin. «Es wurde viel herumgealbert, überall waren Kinder, und nachher konnten wir die Spieler treffen», erzählt Mauldin. Es war der erste Sportanlass, den er live erlebte. Und er fragt sich seither immer wieder: «Was wäre passiert, wenn ich zuerst Basketball oder Football gesehen hätte?»
Auch der Vater, ein früherer Marine-Offizier, der für IBM arbeitete, war bald mit der neuen Leidenschaft konfrontiert. «Wir schauten uns die Spiele der Bruins im TV an und lernten den Sport zusammen kennen», erinnert sich der Sohn, «das war wie ein gemeinsames Hobby.»
Schlittschuhe von der Heilsarmee
Die Mauldins lebten in Holliston, einer gutbürgerlichen Kleinstadt eine halbe Stunde westlich von Boston. «Viel los ist dort nicht», sagt der Sohn. Sein Alltag war stark strukturiert, und weil es im Ort selbst keine Eishalle gab, chauffierten die Eltern ihren Sprössling eben in die Nachbargemeinde. Die ersten paar Schlittschuhe kauften sie für sechs Dollar bei der Heilsarmee. «Sie dachten wohl, dass ich nach ein paar Stürzen wieder genug haben würde.»
Dem war nicht so. Vielmehr stürzte sich der Sohn so sehr in seinen Sport, dass er während der Highschool-Zeit begann, in der Eishalle zu jobben, um möglichst oft trainieren zu können. Er lernte Schlittschuhe schleifen und die Eismaschine bedienen. Er wickelte ein Frotteetuch um einen Hockeyhandschuh, damit er ein Kissen hatte für das Bett, das er aus leeren Eierkartons improvisierte. Nachdem er am Abend den Rink präpariert hatte, konnte er morgens allein als Erster aufs Eis. Und seine Eltern waren froh, dass sie wussten, wo er war. «Damals gab es ja noch keine Handys», sagt Mauldin und lacht.
Wendepunkt Oskarshamn
Auch im Winter 2006/07, sein Vater war inzwischen gestorben, wusste die Mutter wieder, wo Gregory war: in Oskarshamn. Mauldins Karriere schien nach nur 6 NHL-Spielen mit Columbus und fast einem Jahrzehnt in tieferen Ligen in der Sackgasse. Er sollte dem Club aus der zweithöchsten schwedischen Liga beim Klassenerhalt helfen, die Mutter kam ihn für eine Woche besuchen. «Doch nach 15 Minuten hatte ich ihr den ganzen Ort gezeigt», erzählt Mauldin. Die letzten vier Tage verbrachte sie dann lieber im nahen Stockholm.
Der Sohn blieb – und nennt das im Rückblick «das Beste, was mir je passiert ist». Ausser dem Provinzclub Oskarshamn hatte sich niemand für den Stürmer interessiert, der in der AHL nie als Skorer galt. Er war 24, fremd und ganz auf sich allein gestellt. Er habe die Situation gehasst, sagt er, doch sie sei ein Augenöffner gewesen: «Ich habe mich selbst besser verstehen gelernt. Und ich habe gelernt, was es heisst, Profi zu sein: bei der Vorbereitung und in jedem einzelnen Spiel.»
Die Fankurve von Fribourg auf Youtube
Mit der Lektion Oskarshamn ging es aufwärts – langsam, aber stetig. Und nach zwei weiteren AHL-Saisons kehrte Mauldin 2009 tatsächlich in die NHL zurück, mit 28 Jahren und wider jede Wahrscheinlichkeit. Nach 29 Spielen mit Colorado war das Abenteuer zwar vorbei, doch für Mauldin lohnte es sich: Auf dem Transfermarkt war er plötzlich ein gefragter Mann. Nach Deutschland oder Schweden hätte er 2012 gehen können, als in der NHL der Lock-out drohte und Europa bessere Perspektiven bot. Mauldin sah sich auf Youtube Videos aus diversen Ligen an. Er sah die Fankurve von Fribourg. Und er wusste: «Da will ich hin.»
Bereut hat Mauldin diese Entscheidung nie. Vor zwei Wochen verlängerte er einen Vertrag bis 2017. Zwei weitere Jahre, um phänomenal zu sein.
(Tagesanzeiger.ch/Newsnet)
(Erstellt: 01.12.2014, 23:34 Uhr)
Mattäng- Mini
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Re: Presse / Medien
Mattäng a écrit:Nach Deutschland oder Schweden hätte er 2012 gehen können, als in der NHL der Lock-out drohte und Europa bessere Perspektiven bot. Mauldin sah sich auf Youtube Videos aus diversen Ligen an. Er sah die Fankurve von Fribourg. Und er wusste: «Da will ich hin.»
Ça a bien changé...
Kybov- Rivera
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Re: Presse / Medien
http://www.20min.ch/ro/sports/dossier/lna/story/Le-president-Phillot-aurait-ete-pousse-a-la-demission-17288399
Il y a qqch qui ne joue vraiment pas chez la direction du club et les actionnaires ...
Il y a qqch qui ne joue vraiment pas chez la direction du club et les actionnaires ...
pinsu- Bambino
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Re: Presse / Medien
C'est un peu un secret de polichinelle. On en parlait déjà au moment de la démission…pinsu a écrit:http://www.20min.ch/ro/sports/dossier/lna/story/Le-president-Phillot-aurait-ete-pousse-a-la-demission-17288399
Il y a qqch qui ne joue vraiment pas chez la direction du club et les actionnaires ...
Dzodzet1991- NLA player
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Re: Presse / Medien
Dzodzet1991 a écrit:C'est un peu un secret de polichinelle. On en parlait déjà au moment de la démission…pinsu a écrit:http://www.20min.ch/ro/sports/dossier/lna/story/Le-president-Phillot-aurait-ete-pousse-a-la-demission-17288399
Il y a qqch qui ne joue vraiment pas chez la direction du club et les actionnaires ...
C'est ce que a déjà été marqué dans un autre post. Et comme je l'ai déjà dit, du moment que la BCF paye et elle quand même son mot à dire. En plus elle défend un projet fribourgeois contrairement au projet bernois choisi. Pis 9000 places ça suffit ppour la LNB...
bora-bora- NLB player
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Re: Presse / Medien
On peut surtout le remercier, mieux vaut une nouvelle patinoire qu'une rénovation qui aurait coûté la même chose. Il y a eu les couilles de ne pas plier, chapeau.
Tchôlololô!!- NLB player
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Re: Presse / Medien
Tchôlololô!! a écrit:On peut surtout le remercier, mieux vaut une nouvelle patinoire qu'une rénovation qui aurait coûté la même chose. Il y a eu les couilles de ne pas plier, chapeau.
Mouais, si c'est pour lâcher le bateau 2 mois plus tard, il a une des couilles certes, mais pas très longtemps...
Finalement tout ce qu'on reproche à Phillot, c'est qu'il n'a pas été ferme. Alors que c'est justement de la fermeté qu'il faut à la tête de ce club.
S'il estimait que Kossmann était l'entraineur qu'il nous fallait, il le maintient et ne lâche pas. S'il estime que c'est ce projet de patinoire qu'il nous faut, il tient contre vents et marées. Faire des choix c'est bien, les assumer c'est encore mieux. Il a cédé face aux joueurs et aux sponsors concernant les deux seules "grosses décisions" de son mandat, difficile d'en avoir moins dans le froque finalement.
Re: Presse / Medien
hs16 a écrit:Tchôlololô!! a écrit:On peut surtout le remercier, mieux vaut une nouvelle patinoire qu'une rénovation qui aurait coûté la même chose. Il y a eu les couilles de ne pas plier, chapeau.
Mouais, si c'est pour lâcher le bateau 2 mois plus tard, il a une des couilles certes, mais pas très longtemps...
Finalement tout ce qu'on reproche à Phillot, c'est qu'il n'a pas été ferme. Alors que c'est justement de la fermeté qu'il faut à la tête de ce club.
S'il estimait que Kossmann était l'entraineur qu'il nous fallait, il le maintient et ne lâche pas. S'il estime que c'est ce projet de patinoire qu'il nous faut, il tient contre vents et marées. Faire des choix c'est bien, les assumer c'est encore mieux. Il a cédé face aux joueurs et aux sponsors concernant les deux seules "grosses décisions" de son mandat, difficile d'en avoir moins dans le froque finalement.
"Phillot ne se remet pas en question. Incapable de constater ses erreurs, il va couler le club"
ou
"Phillot change d'avis comme de chemise. Il faut être ferme pour être président"
Au final, tu peux faire n'importe quoi, tu te feras toujours critiquer. J'espère ne jamais finir président de Gottéron ! et comme je pouvais déjà tirer un trait sur ma carrière de joueur, il ne me reste plus que la baraque à frites comme objectif
Jon- NHL superstar
- Messages : 5341
Date d'inscription : 19/01/2014
Re: Presse / Medien
Jon a écrit: et comme je pouvais déjà tirer un trait sur ma carrière de joueur, il ne me reste plus que la baraque à frites comme objectif
Et les frites sont bonnes, la barre est placé assez haute, bonne chance ! Recycle toi en fournisseur de bière, là t'auras plus de chance.
Liolio- NHL superstar
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Date d'inscription : 19/01/2014
Re: Presse / Medien
Jon a écrit:
et comme je pouvais déjà tirer un trait sur ma carrière de joueur, il ne me reste plus que la baraque à frites comme objectif
C'est le poste le plus demandé!! Il faut un CV en béton! T'es au courant de tout et personne ne te tombe dessus! Je suis presque sûr qu'il peut même influencer certaines décisions du CA...
Marleau12- Piccolo
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Localisation : Fribourg
Re: Presse / Medien
"Phillot ne se remet pas en question. Incapable de constater ses erreurs, il va couler le club"
ou
"Phillot change d'avis comme de chemise. Il faut être ferme pour être président"
Au final, tu peux faire n'importe quoi, tu te feras toujours critiquer. J'espère ne jamais finir président de Gottéron !
Si tu évites de prolonger le poste clé de l'équipe 2 ans et de le virer 2 mois après et de choisir une infrastructure que tes sponsors principaux ne veulent pas pour ne pas assumer et te barrer, ça devrait se passer sans trop de problème
C'est clair que quoi que tu fasses tu es critiqué, mais je n'ai jamais vu autant de remous secoué la direction (sportive et administrative) d'un club en aussi peu de temps, alors que la situation semblait relativement saine il y a quelques mois.
Re: Presse / Medien
Ils voulaient sa peau car il a fait pencher la balance en faveur de la nouvelle patinoire... c'est tout. On peut que le remercier. Je pense en effet qu'il aurait garder Kossmann, si il avait pu.. Tu as tendances à tout mélanger. Le sportif et la gestion du dossier de la nouvelle patinoire, c'est deux choses complètement différentes.hs16 a écrit:Tchôlololô!! a écrit:On peut surtout le remercier, mieux vaut une nouvelle patinoire qu'une rénovation qui aurait coûté la même chose. Il y a eu les couilles de ne pas plier, chapeau.
Mouais, si c'est pour lâcher le bateau 2 mois plus tard, il a une des couilles certes, mais pas très longtemps...
Finalement tout ce qu'on reproche à Phillot, c'est qu'il n'a pas été ferme. Alors que c'est justement de la fermeté qu'il faut à la tête de ce club.
S'il estimait que Kossmann était l'entraineur qu'il nous fallait, il le maintient et ne lâche pas. S'il estime que c'est ce projet de patinoire qu'il nous faut, il tient contre vents et marées. Faire des choix c'est bien, les assumer c'est encore mieux. Il a cédé face aux joueurs et aux sponsors concernant les deux seules "grosses décisions" de son mandat, difficile d'en avoir moins dans le froque finalement.
Tchôlololô!!- NLB player
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Re: Presse / Medien
Les banquiers n'ont pas pu aider leur petits copains riche ? OOOO pauvres mimi.
Bon choix de projet ! Si la BCF veut commander qu'ils aillent eux dans le CA.
Bon choix de projet ! Si la BCF veut commander qu'ils aillent eux dans le CA.
Florida Panthers- Amateur
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Re: Presse / Medien
Tchôlololô!! a écrit:Ils voulaient sa peau car il a fait pencher la balance en faveur de la nouvelle patinoire... c'est tout. On peut que le remercier. Je pense en effet qu'il aurait garder Kossmann, si il avait pu.. Tu as tendances à tout mélanger. Le sportif et la gestion du dossier de la nouvelle patinoire, c'est deux choses complètement différentes.hs16 a écrit:Tchôlololô!! a écrit:On peut surtout le remercier, mieux vaut une nouvelle patinoire qu'une rénovation qui aurait coûté la même chose. Il y a eu les couilles de ne pas plier, chapeau.
Mouais, si c'est pour lâcher le bateau 2 mois plus tard, il a une des couilles certes, mais pas très longtemps...
Finalement tout ce qu'on reproche à Phillot, c'est qu'il n'a pas été ferme. Alors que c'est justement de la fermeté qu'il faut à la tête de ce club.
S'il estimait que Kossmann était l'entraineur qu'il nous fallait, il le maintient et ne lâche pas. S'il estime que c'est ce projet de patinoire qu'il nous faut, il tient contre vents et marées. Faire des choix c'est bien, les assumer c'est encore mieux. Il a cédé face aux joueurs et aux sponsors concernant les deux seules "grosses décisions" de son mandat, difficile d'en avoir moins dans le froque finalement.
Faux, dans le sens où ça a été les deux seuls gros dossiers qui ont atterri sur le bureau de Phillot. Il a pris deux décisions qu'il n'a par la suite pas assumé, c'est tout.
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