Presse / Medien
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Re: Presse / Medien
Autant je peux comprendre une certaine frustration concernant la non-reconduction de Botter et Cadieux (ou de Knoepfli), mais pour ce qui est de Gerber, c'est un peu excessif, vu qu'il n'avait pas pu rejouer après sa commotion, en novembre 2012. Si Kossmann lui avait fait une offre, ç'aurait plus été de la charité qu'autre chose.Marleau12 a écrit:En effet, Kaka dit beaucoup de vrai (même si j'espère encore qu'ils vont arriver à surprendre en play-off ). Ce que j'apprécie beaucoup, c'est la pertinence de son analyse sur les blessés. En effet, autant de blessés n'a plus rien à voir avec la malchance, la préparation physique doit jouer un rôle mais comme déjà dit par d'autres fourreurs, aucun joueur ne protège les leaders (dernier exemple Louhivara ne doit pas finir le dernier match). Et l'analyse des transferts n'est pas fausse non plus, je mettrais par contre le début du malaise pas au moment de l'affaire Loeffel mais plutôt de la non prolongation des contrats de Botter, Cadieux, Gerber. Le groupe était fort et soudé mais les joueurs ont été vraiment mal traités par le staff...
Dzodzet1991- NLA player
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Re: Presse / Medien
Et l'analyse des transferts n'est pas fausse non plus, je mettrais par contre le début du malaise pas au moment de l'affaire Loeffel mais plutôt de la non prolongation des contrats de Botter, Cadieux, Gerber.
En gros il fallait resigner tout le monde?
Botter a été remplacé par Ness, moins cher et plus efficace. Cadieux n'avait plus rien à faire en LNA et Gerber a arrêté sa carrière.
Bref là ça devient un peu n'importe quoi, chacun vient resortir des faits qui n'ont rien à voir avec nos problèmes actuels pour expliquer je ne sais quel malaise.
A mon avis tout a commencé le jour où Chad Silver est parti à Zurich, c'est certain.
Re: Presse / Medien
hs16, tout a commencé, plutôt, quand Thomas Liesch a été engagé comme gardien chez Gotteron
happy59- Mini
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Re: Presse / Medien
happy59 a écrit:hs16, tout a commencé, plutôt, quand Thomas Liesch a été engagé comme gardien chez Gotteron
Oh mon Dieu!
Ca cauchemar ne s'arrêtera donc jamais, ça a coïncidé avec ma première thérapie!
Sans déconner, les rouleaux qu'il prenait, c'était juste fou. Si tu te souviens bien, il était censé être notre second gardien derrière Brian Daccord qui avait été blessé avant même le début de saison...
Re: Presse / Medien
Je me souviens très très bien. Il ne supportait plus la pression, il a fait une dépression et a quitté le navire Gotteron en deux temps trois mouvements
happy59- Mini
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Re: Presse / Medien
hs16 a écrit:
Bref là ça devient un peu n'importe quoi, chacun vient resortir des faits qui n'ont rien à voir avec nos problèmes actuels pour expliquer je ne sais quel malaise.
A mon avis tout a commencé le jour où Chad Silver est parti à Zurich, c'est certain.
Chad était parti à Zug, puis Herisau avant d'arriver à Zürich. Non HS, tu n'y es pas, le problème vient surtout du départ de Gaston Pelletier en 82. C'est là que tout a commencé.
Dernière édition par Gren Mont le Ven 19 Déc 2014 - 9:16, édité 1 fois
Gren Mont- NLB player
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Re: Presse / Medien
hs16 a écrit:happy59 a écrit:hs16, tout a commencé, plutôt, quand Thomas Liesch a été engagé comme gardien chez Gotteron
Oh mon Dieu!
Ca cauchemar ne s'arrêtera donc jamais, ça a coïncidé avec ma première thérapie!
Sans déconner, les rouleaux qu'il prenait, c'était juste fou. Si tu te souviens bien, il était censé être notre second gardien derrière Brian Daccord qui avait été blessé avant même le début de saison...
Et d'ailleurs, bon nombres de supporters ne l'était pas...
Gren Mont- NLB player
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Re: Presse / Medien
Gren Mont a écrit:hs16 a écrit:
Bref là ça devient un peu n'importe quoi, chacun vient resortir des faits qui n'ont rien à voir avec nos problèmes actuels pour expliquer je ne sais quel malaise.
A mon avis tout a commencé le jour où Chad Silver est parti à Zurich, c'est certain.
Chad était parti à Zug, puis Herisau avant d'arriver à Zürich. Non HS, tu n'y es pas, le problème vient surtout du départ de Gaston Pelletier en 82. C'est là que tout à commencer.
Non tout a commencé le 4 mars 1980. On n'avait qu'à laisser gagner Zèrich et pas monter. On n'aurait pas le souvi d'éviter de descendre aujourd'hui! CQFD...
et pis cétout!
bora-bora- NLB player
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Re: Presse / Medien
hs16 a écrit:Et l'analyse des transferts n'est pas fausse non plus, je mettrais par contre le début du malaise pas au moment de l'affaire Loeffel mais plutôt de la non prolongation des contrats de Botter, Cadieux, Gerber.
En gros il fallait resigner tout le monde?
Botter a été remplacé par Ness, moins cher et plus efficace. Cadieux n'avait plus rien à faire en LNA et Gerber a arrêté sa carrière.
Bref là ça devient un peu n'importe quoi, chacun vient resortir des faits qui n'ont rien à voir avec nos problèmes actuels pour expliquer je ne sais quel malaise.
A mon avis tout a commencé le jour où Chad Silver est parti à Zurich, c'est certain.
Non je ne dis pas qu'il fallait garder tout le monde. Ce qui m'avait vraiment dérangé, c'était la manière de faire! Ils les ont fait poireauter pour finir par leur dire en juin qu'ils pouvaient chercher ailleurs... C'était des types qui ont beaucoup donné sur la glace et pour le club et pour finir on s'en débarrasse comme une vieille paire de chaussettes. Après ça, il faut pas venir s'étonner que des joueurs signent en septembre! Et c'est mon hypothèse personnelle concernant les problèmes actuels. J'estime avoir le droit de la partager sur un forum.
Marleau12- Piccolo
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Re: Presse / Medien
Et c'est mon hypothèse personnelle concernant les problèmes actuels. J'estime avoir le droit de la partager sur un forum.
Ah mais le droit tu l'as, ça personne ne te l'enlève.
Ca me paraît être quelque peu farfelu, mais tu as parfaitement le droit de partager cet avis sur un forum.
Re: Presse / Medien
Maurice1 a écrit:Botter etait un bosseur, cadieux aussi. Ils jouent ou maintenant ? Quel a ete le role de Berger dans ces transferts ? Et le role de Matte qui n'a jamais gagné un match en coachant, mais qui est toujours là bizarrement? Merci de votre lumiere. Quant a montandon, il faut le garder, c'est précieux pour le club.
Réaction tardive de ma part, mais en quoi est-ce précieux pour le club de garder Maxime Montandon?!
Il a démontré plus d'une fois ne pas avoir le niveau requis pour jouer en LNA...
danslavallée- Novice
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Date d'inscription : 23/01/2014
Re: Presse / Medien
Ratlosigkeit wich Kabinettstückchen
Christoph Bertschy weiss aus eigener Erfahrung, was die Spieler von Gottéron zurzeit durchmachen. Vor Jahresfrist war der Freiburger mit dem SC Bern ebenfalls im Strichkampf involviert. Heute ist der Stürmer wieder im Hoch.
Mit 23 Punkten aus 31 Spielen gehört Christoph Bertschy im Team des SC Bern zu den besten Skorern. Dabei wird oft vergessen, dass der Freiburger gerade einmal zwanzig Jahre alt ist, weil er bereits die vierte Saison in der National League A bestreitet. Ein Beleg dafür, dass Bertschy über herausragendes Talent verfügt. So ging es in der Karriere des einstigen Gottéron-Juniors denn auch fast immer bergauf. Mit Ausnahme der letzten Saison, als er in total 43 Partien mit «nur» 16 Skorerpunkten nicht nur unter den Erwartungen des Klubs, sondern auch unter seinen eigenen geblieben war. «Damals lief es der ganzen Mannschaft nicht, was zur Folge hatte, dass es dem Einzelnen eben auch nicht leichter fiel», sagt Bertschy in der Retrospektive. «Sicher war ich ein Stück weit enttäuscht. Aber Rückschläge gehören dazu. Ich konnte aus dieser Zeit viel dazulernen.»
«Kühlen Kopf bewahren»
Rückblende: Nachdem die Berner im Jahr zuvor den Playoff-Final gegen Gottéron gewonnen hatten, mussten sie entgegen allen Prognosen in der Meisterschaft 2013/14 den Gang in die Abstiegsrunde antreten. Heute ist diese unrühmliche Episode nicht mehr als eine schlechte Erinnerung. Der SCB steht in der Tabelle auf Rang drei, ist wieder gefestigt und zählt ohne jeden Zweifel zu den Titelanwärtern. «Vor Jahresfrist befanden wir uns in einer Negativspirale, aus der wir einfach nicht mehr herausfanden. Jetzt hingegen sind wir in einem Hoch. So fällt vieles leichter. Der Puck läuft für dich, und du gewinnst auch die engen Spiele. Zudem haben wir gleichwohl einige neue Spieler im Kader.»
Eine wichtige Rolle im Aufschwung der Berner spiele auch Trainer Guy Boucher, der im Januar Meistertrainer Antti Törmänen abgelöst hatte. Den Fall in die Playouts hatte der Kanadier, der Tampa Bay 2011 in den Stanley-Cup-Final geführt hatte, indes ebenfalls nicht mehr verhindern können. «Boucher hat ein komplett neues Spielsystem eingebracht, das hat seine Zeit gebraucht. Auch in dieser Saison waren unsere Leistungen zu Beginn noch nicht das Gelbe vom Ei. Jetzt läuft es aber immer besser», hält Bertschy fest. Der Freiburger bestätigt Stimmen, die besagen, dass der ehemalige NHL-Trainer ein «harter Hund» sei. «Das stimmt, er ist sehr fordernd und sehr hart. Menschlich ist Boucher jedoch top. Er trennt Business und Persönliches.» Speziell Bertschy profitiert von der Erfahrung des Trainers. «Ich bekomme seit Saisonbeginn sein Vertrauen. Das bringt mich in meiner Entwicklung voran.»
Wenn Bertschy heute Abend mit dem SC Bern im St. Leonhard zu Gast ist, trifft er auf ein Team, das sich in der genau gleichen Situation befindet, in der die Berner vor Jahresfrist gesteckt hatten. «Die Liga wird immer ausgeglichener. Gottéron ist sicher eine gute Mannschaft, aber sie ist nun in einer dieser Negativspiralen. Es erwischt eben immer das eine oder andere Top-Team, das Mühe hat. Einerseits ist es schön, dass die Meisterschaft so ausgeglichen ist, andererseits ist es aber schade, wenn es Mannschaften wie Bern oder nun Gottéron trifft.» Mit einem solchen Tief umzugehen sei schwierig. «Wir hatten letzte Saison alles probiert, aber es ging einfach nicht. Da macht sich schon eine gewisse Ratlosigkeit breit. Am besten ist es, einen kühlen Kopf zu bewahren.» Einfach sei dies aber nicht. «Der Druck ist riesig. Im Strichkampf zählt jeder einzelne Puck», so Bertschy. Er brauche diese Erfahrung nicht noch einmal zu machen.
Der Traum von Übersee
Bedeutend freier lässt es sich da schon an der Tabellenspitze aufspielen. «Ich kann mich momentan wirklich nicht beklagen und hoffe, dass es so weitergeht», sagt der Freiburger, der am letzten Wochenende mit der Schweizer Nationalmannschaft an der «Arosa Challenge» teilgenommen hat. Dass sein Selbstvertrauen gross ist, bewies Bertschy zuletzt beim 5:1-Auswärtssieg in Kloten, als er Flyers-Goalie Jonas Müller mit einer Klasse-Finte–er schloss einen Angriff mit dem Stock zwischen den Beinen ab–erwischte. «Das war schon speziell. Wenn es läuft, dann läuft es, und du kannst auch mal etwas probieren. Es war aber bestimmt eine Portion Glück dabei.» Mit derlei Kabinettstückchen erweckt Bertschy gewiss auch die Aufmerksamkeit der Scouts aus Übersee. Der Vertrag von Bertschy, der 2012 im NHL Entry Draft in der sechsten Runde an 158. Position von den Minnesota Wild gezogen wurde, läuft Ende Saison aus. «Über meine Zukunft habe ich mir noch keine grossen Gedanken gemacht. Es ist sicher ein Traum von mir, rüberzugehen. Zunächst will ich einfach gut spielen, um 100 Prozent bereit zu sein.»
Christoph Bertschy weiss aus eigener Erfahrung, was die Spieler von Gottéron zurzeit durchmachen. Vor Jahresfrist war der Freiburger mit dem SC Bern ebenfalls im Strichkampf involviert. Heute ist der Stürmer wieder im Hoch.
Mit 23 Punkten aus 31 Spielen gehört Christoph Bertschy im Team des SC Bern zu den besten Skorern. Dabei wird oft vergessen, dass der Freiburger gerade einmal zwanzig Jahre alt ist, weil er bereits die vierte Saison in der National League A bestreitet. Ein Beleg dafür, dass Bertschy über herausragendes Talent verfügt. So ging es in der Karriere des einstigen Gottéron-Juniors denn auch fast immer bergauf. Mit Ausnahme der letzten Saison, als er in total 43 Partien mit «nur» 16 Skorerpunkten nicht nur unter den Erwartungen des Klubs, sondern auch unter seinen eigenen geblieben war. «Damals lief es der ganzen Mannschaft nicht, was zur Folge hatte, dass es dem Einzelnen eben auch nicht leichter fiel», sagt Bertschy in der Retrospektive. «Sicher war ich ein Stück weit enttäuscht. Aber Rückschläge gehören dazu. Ich konnte aus dieser Zeit viel dazulernen.»
«Kühlen Kopf bewahren»
Rückblende: Nachdem die Berner im Jahr zuvor den Playoff-Final gegen Gottéron gewonnen hatten, mussten sie entgegen allen Prognosen in der Meisterschaft 2013/14 den Gang in die Abstiegsrunde antreten. Heute ist diese unrühmliche Episode nicht mehr als eine schlechte Erinnerung. Der SCB steht in der Tabelle auf Rang drei, ist wieder gefestigt und zählt ohne jeden Zweifel zu den Titelanwärtern. «Vor Jahresfrist befanden wir uns in einer Negativspirale, aus der wir einfach nicht mehr herausfanden. Jetzt hingegen sind wir in einem Hoch. So fällt vieles leichter. Der Puck läuft für dich, und du gewinnst auch die engen Spiele. Zudem haben wir gleichwohl einige neue Spieler im Kader.»
Eine wichtige Rolle im Aufschwung der Berner spiele auch Trainer Guy Boucher, der im Januar Meistertrainer Antti Törmänen abgelöst hatte. Den Fall in die Playouts hatte der Kanadier, der Tampa Bay 2011 in den Stanley-Cup-Final geführt hatte, indes ebenfalls nicht mehr verhindern können. «Boucher hat ein komplett neues Spielsystem eingebracht, das hat seine Zeit gebraucht. Auch in dieser Saison waren unsere Leistungen zu Beginn noch nicht das Gelbe vom Ei. Jetzt läuft es aber immer besser», hält Bertschy fest. Der Freiburger bestätigt Stimmen, die besagen, dass der ehemalige NHL-Trainer ein «harter Hund» sei. «Das stimmt, er ist sehr fordernd und sehr hart. Menschlich ist Boucher jedoch top. Er trennt Business und Persönliches.» Speziell Bertschy profitiert von der Erfahrung des Trainers. «Ich bekomme seit Saisonbeginn sein Vertrauen. Das bringt mich in meiner Entwicklung voran.»
Wenn Bertschy heute Abend mit dem SC Bern im St. Leonhard zu Gast ist, trifft er auf ein Team, das sich in der genau gleichen Situation befindet, in der die Berner vor Jahresfrist gesteckt hatten. «Die Liga wird immer ausgeglichener. Gottéron ist sicher eine gute Mannschaft, aber sie ist nun in einer dieser Negativspiralen. Es erwischt eben immer das eine oder andere Top-Team, das Mühe hat. Einerseits ist es schön, dass die Meisterschaft so ausgeglichen ist, andererseits ist es aber schade, wenn es Mannschaften wie Bern oder nun Gottéron trifft.» Mit einem solchen Tief umzugehen sei schwierig. «Wir hatten letzte Saison alles probiert, aber es ging einfach nicht. Da macht sich schon eine gewisse Ratlosigkeit breit. Am besten ist es, einen kühlen Kopf zu bewahren.» Einfach sei dies aber nicht. «Der Druck ist riesig. Im Strichkampf zählt jeder einzelne Puck», so Bertschy. Er brauche diese Erfahrung nicht noch einmal zu machen.
Der Traum von Übersee
Bedeutend freier lässt es sich da schon an der Tabellenspitze aufspielen. «Ich kann mich momentan wirklich nicht beklagen und hoffe, dass es so weitergeht», sagt der Freiburger, der am letzten Wochenende mit der Schweizer Nationalmannschaft an der «Arosa Challenge» teilgenommen hat. Dass sein Selbstvertrauen gross ist, bewies Bertschy zuletzt beim 5:1-Auswärtssieg in Kloten, als er Flyers-Goalie Jonas Müller mit einer Klasse-Finte–er schloss einen Angriff mit dem Stock zwischen den Beinen ab–erwischte. «Das war schon speziell. Wenn es läuft, dann läuft es, und du kannst auch mal etwas probieren. Es war aber bestimmt eine Portion Glück dabei.» Mit derlei Kabinettstückchen erweckt Bertschy gewiss auch die Aufmerksamkeit der Scouts aus Übersee. Der Vertrag von Bertschy, der 2012 im NHL Entry Draft in der sechsten Runde an 158. Position von den Minnesota Wild gezogen wurde, läuft Ende Saison aus. «Über meine Zukunft habe ich mir noch keine grossen Gedanken gemacht. Es ist sicher ein Traum von mir, rüberzugehen. Zunächst will ich einfach gut spielen, um 100 Prozent bereit zu sein.»
bcfarena- Mini
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Re: Presse / Medien
Si Bern ne veut pas lui offrir une clause NHL on doit pouvoir s'arranger
Comment ça ce n'est pas faire plus avec moins?
Comment ça ce n'est pas faire plus avec moins?
Re: Presse / Medien
Interessantes Interview mit Gerd - gesehen in den FN.....sogar für Nadeau hat er Antworten parat ;-)
Seit zwei Monaten trainiert Gerd Zenhäusern Gottéron. Im Interview zieht der 42-Jährige eine erste Zwischenbilanz, erklärt, was er unter modernem Eishockey versteht, wie sein Team die Defensive stabilisieren kann und was es braucht, damit der Klub in Zukunft wieder vorne mitspielen kann.
Trainer von Gottéron zu sein, ist kein einfacher Job. Denn im eishockeyverrückten Freiburg gibt es Tausende potenzielle Trainer. Es gibt Leute, die schreiben Gerd Zenhäusern, was er besser machen soll. Geben ihm beispielsweise den Tipp, er müsse täglich Powerplay trainieren lassen–was er ohnehin tut. Dennoch bereut der Walliser sein Engagement keineswegs. «Ich weiss, welch grosse Chance das für mich ist und gebe alles, um sie zu nutzen.»
Gerd Zenhäusern, was wünschen Sie sich in Ihrer Funktion als Gottéron-Trainer zu Weihnachten?
Über dem Strich zu sein. Wir treffen noch auf zwei starke Gegner, aber es wäre schön, auf einem Playoff-Platz ins Jahr 2015 zu starten.
Vor zwei Monaten haben Sie Ihren ersten Job als NLA-Headcoach übernommen. Was hat Sie bisher überrascht?
Eigentlich nicht viel, ausser dass ich sehr viel zu tun hatte rund um die ganzen Verletzungen. Ich musste zehn Spieler integrieren. Zudem hatten wir sehr viele Partien. So kamen einige Dinge zu kurz, zum Beispiel das Vermitteln einer Spielphilosophie. Dazu hatte ich bisher keine Zeit.
In Ihrer Zeit als Trainer in Lausanne sollen Sie ab und zu mit dem Klappbett im Stadion übernachtet haben. War das in Freiburg auch schon notwendig?
Nein, bisher nicht. In Lausanne war das übrigens nicht nur ab und zu der Fall, sondern am Ende der Playoffs zwei bis drei Mal pro Woche. Ich wollte unbedingt den Aufstieg in die NLA schaffen und dafür möglichst hart arbeiten. Eishockey ist meine Leidenschaft, die Arbeitsstunden zähle ich nicht.
Trotz Leidenschaft wirken Sie meist ruhig und besonnen, insbesondere auch während der Spiele. Ist das Ihr Charakter oder können Sie sich bloss gut zusammenreissen?
Grundsätzlich bin ich sicher eher der ruhige Typ. Gleichzeitig versuche ich herauszuspüren, was die Mannschaft in der jeweiligen Situation braucht. Meine äusserliche Ruhe entspricht deshalb nicht immer meinem Gemütszustand. Es bringt aber nichts, wenn ich die Spieler laufend zusammenstauche. Ich versuche, mit ihnen über Lösungen zu diskutieren, statt ihnen zu sagen: Jetzt hast du schon wieder einen Fehler gemacht. Manchmal brauchen die Spieler einfach Ruhe, selbst wenn es nicht gut läuft. Die Zuschauer haben oft das Gefühl, der Trainer müsse den Hampelmann machen und herumschreien, wenn es nicht gut läuft. Das ist Gugus. Vielleicht hat man das vor 20 Jahren so gemacht. Heute ist eine andere Spielergeneration am Werk, da ist auch der Umgang ein anderer.
Dann haben Sie in diesen zwei Monaten noch keinen Spieler zusammengestaucht?
Doch, doch. Es hat schon einige Situationen gegeben, in denen ich sehr laut geworden bin. Ich versuche, die Kritik einfach nicht persönlich werden zu lassen. Und wenn ich Einzelkritik anbringen will, nehme ich den Spieler zur Seite und sage ihm, was ich zu sagen habe–ohne ihn dabei jedoch zu erniedrigen.
Vor zwei Wochen hat ein FN-Leser Sie in einem Leserbrief dafür gelobt, dass Sie am Sonntagmorgen bei einem Bambini-Turnier mitgeholfen haben. Ist das Professionalität und gutes Marketing oder Bescheidenheit?
Das ist Lichtjahre von einer Marketing-Idee entfernt. Ich bin nicht einer, der kalkuliert. Mein Sohn spielt bei den Bambini. Warum soll ich als Vater da nicht Kaffee servieren und Kuchen backen? Ich bin ein ganz normaler Mensch.
Welche sportliche Zwischenbilanz ziehen Sie nach zwei Monaten im Amt?
Es waren sehr turbulente Wochen. Als ich kam, hatte ich fünf Verteidiger. Und kaum waren die Verteidiger zurück, waren sechs Stürmer weg. Es ist schwierig, so eine Bilanz zu ziehen. Ich weiss, dass die Mannschaft Potenzial hat. Aber ich hätte gerne einmal alle Spieler zur Verfügung. Doch das wird noch ein bisschen dauern. Am Montag kehrt bestenfalls Benjamin Plüss zurück, Thibaut Monnet vielleicht nach der Weihnachtspause, Andrei Bykow allenfalls Mitte Januar. Insgesamt gibt es Dinge, mit denen ich sehr zufrieden bin, und Bereiche, in denen ich mir mehr erhofft habe.
Wo haben Sie sich mehr erhofft?
Ich habe auf mehr Punkte gehofft. Aber natürlich ist es rational erklärbar. Es ist super, dass wir Hilfe aus der NLB erhalten haben, aber man kann nicht erwarten, dass NLB-Spieler für uns die Partien entscheiden. Das ist unrealistisch.
Haben Sie das Gefühl, dass nach zwei Monaten schon Ihre Handschrift in dieser Mannschaft erkennbar ist?
Phasenweise ja. Aber wie gesagt, ich hatte sehr wenig Zeit, musste immer bloss an der Mannschaft herumflicken. Es gab vielleicht drei, vier Trainings, in denen wir uns rein auf die taktischen Varianten konzentrieren und versuchen konnten, etwas aufzubauen.
Was haben Sie für eine Vision mit dieser Mannschaft? Welcher Spielstil schwebt Ihnen vor?
Ich mag es, wenn das Spiel flüssig ist, mag das Kurzpassspiel, bei dem sich die Spieler gegenseitig unterstützen–auf der ganzen Eisfläche. Ich mag es nicht, wenn alles auseinandergezogen wird, die Spieler den Puck in die gegnerische Zone chippen und hinterherlaufen. Ich will, dass mein Team kompakt ist, aber das braucht natürlich viel Energie, weil die Spieler sehr viel ohne Puck laufen muss.
Nehmen Sie gewisse NLA-Mannschaften als Vorbild in Sachen Spielstil?
Zürich hat einen Stil, der immer einfach und locker aussieht. In Wirklichkeit steckt jedoch sehr viel taktische Disziplin dahinter. Es ist ein Mix zwischen Abwarten und Spielkontrolle. Als Gegner hat man immer das Gefühl, das Team sei zu packen–und am Ende verliert man dann doch, weil Zürich im taktischen Bereich sehr vieles richtig macht. Ich mag Resultate wie 2:1 oder 2:0, wenn der Sieger geduldig ist und trotz knappem Resultat alles im Griff hat.
Für Gottéron ist die aktuelle Saison bisher eine grosse Enttäuschung. Was ist mit dieser Mannschaft kurzfristig noch zu holen?
Ziel sind natürlich die Playoffs. Wir arbeiten einzig auf dieses Ziel hin. Mit Kampf und Leidenschaft ist es möglich, einige Spiele hintereinander zu gewinnen. Wenn die Spieler einmal einen klaren Kopf haben und raus sind aus dieser Negativspirale, dann ist das Team zu vielem fähig.
Kampf und Leidenschaft sind jedoch nicht immer erkennbar. Sind Sie zufrieden mit dem Einsatz Ihrer Spieler?
Ich weiss, dass der Einsatz immer stimmt. Ich weiss aber auch, dass es nicht immer so aussieht. Der Grund dafür ist, dass wir die Scheibe zu oft einfach wegschiessen und dem Puck und dem Gegner so immer hinterherrennen. Wenn man das den ganzen Abend tut und stets einen Schritt zu spät ist, sagen sich die Zuschauer: Die machen ja nicht einmal die Checks zu Ende!
Im letzten Heimspiel hat das Publikum fast bei jeder misslungenen Aktion gepfiffen. Wie gehen Sie damit um?
Da halte ich mich lieber mit einer Antwort zurück.
Dann scheinen Sie die Pfiffe ziemlich zu ärgern.
Es ist wichtig für eine Mannschaft, zu spüren, dass die Leute hinter ihr stehen. Zum Teil wird aber sogar gepfiffen, wenn ein Puck wegen einer Unsauberkeit im Eis über eine Schaufel springt und den Pass deshalb kein Spieler dieser Welt hätte annehmen können. Aber ich will mir nicht zu viele Gedanken darüber machen. Was ich sagen kann: Die Mannschaft spürt es enorm, ob der Rückhalt da ist oder nicht. Die Spieler reden auch in der Kabine darüber.
Gottéron ist in der NLA das Team mit den meisten Gegentreffern. Mit Alexandre Picard war im November ein ausländischer Verteidiger im Probetraining. Nicht zuletzt, weil sich viele Stürmer verletzten, wurde er nicht unter Vertrag genommen. Ist das Thema ausländischer Verteidiger für diese Saison damit vom Tisch?
Die Zuschauer glauben immer, man müsse einen ausländischen Verteidiger holen, um die Defensive zu verstärken. Doch das läuft nicht so im Eishockey. Die Defensive besteht immer aus fünf Spielern und einem Goalie. Jeder hat defensive Verpflichtungen. Lausanne spielt seit zwei Jahren ohne ausländische Verteidiger und hat eine der besten Defensiven. Gut, natürlich haben sie einen super Goalie, aber trotzdem, es zeigt, dass alle auf dem Feld defensiv arbeiten müssen. Die Defensive wird nur stabilisiert, wenn jeder den Finger aus dem Po nimmt und zurücksprintet. Sich überall auf dem Eis gegenseitig unterstützen, muss die Devise lauten, mit oder ohne Scheibe. Das ist modernes Eishockey und daran müssen wir noch arbeiten, sehr viel daran arbeiten. Wir haben zu viele Löcher, zu viele Spieler, die sich sagen: Mein Job ist gemacht, ich fahre nun zurück. Es darf aber nicht ein Zurückfahren sein, sondern muss ein Zurücksprinten sein, um sofort Druck von hinten aufzusetzen.
Sie haben also nicht das Gefühl, dass es in der Verteidigung bessere Spieler braucht, um in der Tabelle in den nächsten Jahren wieder nach oben schielen zu dürfen?
Wir haben stabile Verteidiger. Wenn ich mir so anschaue, wer auf dem Markt ist und welche Gehälter die Verteidiger kassieren, die für die besten gehalten werden, dann wird es schwindelerregend. Wenn ich zum Beispiel sehe, wie viel ein Eric Blum in Bern verdient …
…wie viel denn?
Um die 600 000 Franken pro Jahr. Da können wir im Moment nicht mithalten. Klar, wir haben ebenfalls Spieler, die sehr gut bezahlt sind. Aber gerade deshalb sind uns momentan gewisse Limiten gesetzt.
Zur Defensive gehört auch ein guter Goalie. Benjamin Conz hat noch einen Vertrag bis 2018. Ist er der Goalie, auf den Sie in den kommenden Jahren setzen wollen?
Im Moment hab ich noch keine klare Nummer eins. Ich werde es weiterhin so handhaben, dass ich ab und zu wechsle. Sicherlich ist es ideal, eine klare Nummer eins zu haben, da gibt es kein Wenn und Aber. Momentan aber stehen Melvin Nyffeler und Benjamin Conz im Konkurrenzkampf. Einer muss versuchen, sich durchzusetzen.
Aber wird einer der beiden in den nächsten Jahren Gottérons Stammtorhüter sein oder ist auch die Neuverpflichtung eines anderen Torhüters eine Option?
Nein, es gibt auch keine grossen Möglichkeiten, andere Goalies zu holen. Ausser man würde einen ausländischen Torhüter holen, und das finde ich keine gute Idee.
Ihr Spielraum, um das Team auf nächste Saison hin zu verändern, ist sehr klein. Sämtliche Grossverdiener stehen weiter unter Vertrag. Ist das frustrierend für Sie?
Frustrierend würde ich nicht sagen. Natürlich hat man Lust, etwas zu verändern, wenn man neu in einem Klub ist. Vielleicht kann ich aber auch froh sein, dass mein Spielraum klein ist. Ich habe gute Spieler, auch wenn sie momentan nicht alle die Leistung erbringen, die sich der Klub erhofft. Aber wenn ich mir den Markt anschaue und sehe, welche Spieler überhaupt verfügbar wären, bin ich froh, dass ich bereits über eine konkurrenzfähige Mannschaft verfüge. Auch wenn wir noch zwei, drei Änderungen vornehmen müssen.
Trauen Sie diesem Team zu, in den nächsten Jahren um den Titel mitzuspielen?
Wichtig wird sein, einen guten Mix zu erreichen, wieder einmal ein, zwei strategische Wechsel zu tätigen, allenfalls mit einem höheren Budget, denn momentan haben wir nicht die finanziellen Mittel, um einen Topshot zu holen. Mal wieder einen wichtigen Transfer zu machen, täte dem Team aber gut. Zudem müssen wir die Mannschaft ganz klar verjüngen, damit wir das dynamische Hockey, das mir vorschwebt, praktizieren können. Einige Spieler sind in dieser oder nächsten Saison allmählich am Ende. Wenn wir diesen Mix erreichen, habe ich das Gefühl, dass wir auch wieder einmal einen Final erreichen oder sogar den Titel holen können. Aber dazu muss alles zusammenpassen. Denn wenn ich sehe, was Lugano, Zürich, Davos oder Bern mittlerweile für Mannschaften aufstellen, dann muss ich sagen: Da sind wir nicht mehr in der gleichen Liga.
Das Geld ist bei Gottéron momentan knapp. Es droht ein sattes Defizit. Bereitet Ihnen diese finanzielle Situation Sorgen?
Klar, wenn man wie ich längerfristig bei einem Klub bleiben möchte, hofft man natürlich, dass es dem Klub finanziell möglichst gut geht–auch um eine gute Mannschaft zusammenstellen zu können. Wir müssen schauen, dass wir in den nächsten Jahren richtig wirtschaften. Dass wir nicht immer auf ein volles Haus angewiesen sind und uns sagen müssen: Hoppla, das Stadion ist nicht ausverkauft, wir werden einen Verlust einfahren. Es muss das Ziel sein, dass der Klub auch Jahre verkraften kann, in denen nicht alles ideal läuft.
Seit zwei Monaten trainiert Gerd Zenhäusern Gottéron. Im Interview zieht der 42-Jährige eine erste Zwischenbilanz, erklärt, was er unter modernem Eishockey versteht, wie sein Team die Defensive stabilisieren kann und was es braucht, damit der Klub in Zukunft wieder vorne mitspielen kann.
Trainer von Gottéron zu sein, ist kein einfacher Job. Denn im eishockeyverrückten Freiburg gibt es Tausende potenzielle Trainer. Es gibt Leute, die schreiben Gerd Zenhäusern, was er besser machen soll. Geben ihm beispielsweise den Tipp, er müsse täglich Powerplay trainieren lassen–was er ohnehin tut. Dennoch bereut der Walliser sein Engagement keineswegs. «Ich weiss, welch grosse Chance das für mich ist und gebe alles, um sie zu nutzen.»
Gerd Zenhäusern, was wünschen Sie sich in Ihrer Funktion als Gottéron-Trainer zu Weihnachten?
Über dem Strich zu sein. Wir treffen noch auf zwei starke Gegner, aber es wäre schön, auf einem Playoff-Platz ins Jahr 2015 zu starten.
Vor zwei Monaten haben Sie Ihren ersten Job als NLA-Headcoach übernommen. Was hat Sie bisher überrascht?
Eigentlich nicht viel, ausser dass ich sehr viel zu tun hatte rund um die ganzen Verletzungen. Ich musste zehn Spieler integrieren. Zudem hatten wir sehr viele Partien. So kamen einige Dinge zu kurz, zum Beispiel das Vermitteln einer Spielphilosophie. Dazu hatte ich bisher keine Zeit.
In Ihrer Zeit als Trainer in Lausanne sollen Sie ab und zu mit dem Klappbett im Stadion übernachtet haben. War das in Freiburg auch schon notwendig?
Nein, bisher nicht. In Lausanne war das übrigens nicht nur ab und zu der Fall, sondern am Ende der Playoffs zwei bis drei Mal pro Woche. Ich wollte unbedingt den Aufstieg in die NLA schaffen und dafür möglichst hart arbeiten. Eishockey ist meine Leidenschaft, die Arbeitsstunden zähle ich nicht.
Trotz Leidenschaft wirken Sie meist ruhig und besonnen, insbesondere auch während der Spiele. Ist das Ihr Charakter oder können Sie sich bloss gut zusammenreissen?
Grundsätzlich bin ich sicher eher der ruhige Typ. Gleichzeitig versuche ich herauszuspüren, was die Mannschaft in der jeweiligen Situation braucht. Meine äusserliche Ruhe entspricht deshalb nicht immer meinem Gemütszustand. Es bringt aber nichts, wenn ich die Spieler laufend zusammenstauche. Ich versuche, mit ihnen über Lösungen zu diskutieren, statt ihnen zu sagen: Jetzt hast du schon wieder einen Fehler gemacht. Manchmal brauchen die Spieler einfach Ruhe, selbst wenn es nicht gut läuft. Die Zuschauer haben oft das Gefühl, der Trainer müsse den Hampelmann machen und herumschreien, wenn es nicht gut läuft. Das ist Gugus. Vielleicht hat man das vor 20 Jahren so gemacht. Heute ist eine andere Spielergeneration am Werk, da ist auch der Umgang ein anderer.
Dann haben Sie in diesen zwei Monaten noch keinen Spieler zusammengestaucht?
Doch, doch. Es hat schon einige Situationen gegeben, in denen ich sehr laut geworden bin. Ich versuche, die Kritik einfach nicht persönlich werden zu lassen. Und wenn ich Einzelkritik anbringen will, nehme ich den Spieler zur Seite und sage ihm, was ich zu sagen habe–ohne ihn dabei jedoch zu erniedrigen.
Vor zwei Wochen hat ein FN-Leser Sie in einem Leserbrief dafür gelobt, dass Sie am Sonntagmorgen bei einem Bambini-Turnier mitgeholfen haben. Ist das Professionalität und gutes Marketing oder Bescheidenheit?
Das ist Lichtjahre von einer Marketing-Idee entfernt. Ich bin nicht einer, der kalkuliert. Mein Sohn spielt bei den Bambini. Warum soll ich als Vater da nicht Kaffee servieren und Kuchen backen? Ich bin ein ganz normaler Mensch.
Welche sportliche Zwischenbilanz ziehen Sie nach zwei Monaten im Amt?
Es waren sehr turbulente Wochen. Als ich kam, hatte ich fünf Verteidiger. Und kaum waren die Verteidiger zurück, waren sechs Stürmer weg. Es ist schwierig, so eine Bilanz zu ziehen. Ich weiss, dass die Mannschaft Potenzial hat. Aber ich hätte gerne einmal alle Spieler zur Verfügung. Doch das wird noch ein bisschen dauern. Am Montag kehrt bestenfalls Benjamin Plüss zurück, Thibaut Monnet vielleicht nach der Weihnachtspause, Andrei Bykow allenfalls Mitte Januar. Insgesamt gibt es Dinge, mit denen ich sehr zufrieden bin, und Bereiche, in denen ich mir mehr erhofft habe.
Wo haben Sie sich mehr erhofft?
Ich habe auf mehr Punkte gehofft. Aber natürlich ist es rational erklärbar. Es ist super, dass wir Hilfe aus der NLB erhalten haben, aber man kann nicht erwarten, dass NLB-Spieler für uns die Partien entscheiden. Das ist unrealistisch.
Haben Sie das Gefühl, dass nach zwei Monaten schon Ihre Handschrift in dieser Mannschaft erkennbar ist?
Phasenweise ja. Aber wie gesagt, ich hatte sehr wenig Zeit, musste immer bloss an der Mannschaft herumflicken. Es gab vielleicht drei, vier Trainings, in denen wir uns rein auf die taktischen Varianten konzentrieren und versuchen konnten, etwas aufzubauen.
Was haben Sie für eine Vision mit dieser Mannschaft? Welcher Spielstil schwebt Ihnen vor?
Ich mag es, wenn das Spiel flüssig ist, mag das Kurzpassspiel, bei dem sich die Spieler gegenseitig unterstützen–auf der ganzen Eisfläche. Ich mag es nicht, wenn alles auseinandergezogen wird, die Spieler den Puck in die gegnerische Zone chippen und hinterherlaufen. Ich will, dass mein Team kompakt ist, aber das braucht natürlich viel Energie, weil die Spieler sehr viel ohne Puck laufen muss.
Nehmen Sie gewisse NLA-Mannschaften als Vorbild in Sachen Spielstil?
Zürich hat einen Stil, der immer einfach und locker aussieht. In Wirklichkeit steckt jedoch sehr viel taktische Disziplin dahinter. Es ist ein Mix zwischen Abwarten und Spielkontrolle. Als Gegner hat man immer das Gefühl, das Team sei zu packen–und am Ende verliert man dann doch, weil Zürich im taktischen Bereich sehr vieles richtig macht. Ich mag Resultate wie 2:1 oder 2:0, wenn der Sieger geduldig ist und trotz knappem Resultat alles im Griff hat.
Für Gottéron ist die aktuelle Saison bisher eine grosse Enttäuschung. Was ist mit dieser Mannschaft kurzfristig noch zu holen?
Ziel sind natürlich die Playoffs. Wir arbeiten einzig auf dieses Ziel hin. Mit Kampf und Leidenschaft ist es möglich, einige Spiele hintereinander zu gewinnen. Wenn die Spieler einmal einen klaren Kopf haben und raus sind aus dieser Negativspirale, dann ist das Team zu vielem fähig.
Kampf und Leidenschaft sind jedoch nicht immer erkennbar. Sind Sie zufrieden mit dem Einsatz Ihrer Spieler?
Ich weiss, dass der Einsatz immer stimmt. Ich weiss aber auch, dass es nicht immer so aussieht. Der Grund dafür ist, dass wir die Scheibe zu oft einfach wegschiessen und dem Puck und dem Gegner so immer hinterherrennen. Wenn man das den ganzen Abend tut und stets einen Schritt zu spät ist, sagen sich die Zuschauer: Die machen ja nicht einmal die Checks zu Ende!
Im letzten Heimspiel hat das Publikum fast bei jeder misslungenen Aktion gepfiffen. Wie gehen Sie damit um?
Da halte ich mich lieber mit einer Antwort zurück.
Dann scheinen Sie die Pfiffe ziemlich zu ärgern.
Es ist wichtig für eine Mannschaft, zu spüren, dass die Leute hinter ihr stehen. Zum Teil wird aber sogar gepfiffen, wenn ein Puck wegen einer Unsauberkeit im Eis über eine Schaufel springt und den Pass deshalb kein Spieler dieser Welt hätte annehmen können. Aber ich will mir nicht zu viele Gedanken darüber machen. Was ich sagen kann: Die Mannschaft spürt es enorm, ob der Rückhalt da ist oder nicht. Die Spieler reden auch in der Kabine darüber.
Gottéron ist in der NLA das Team mit den meisten Gegentreffern. Mit Alexandre Picard war im November ein ausländischer Verteidiger im Probetraining. Nicht zuletzt, weil sich viele Stürmer verletzten, wurde er nicht unter Vertrag genommen. Ist das Thema ausländischer Verteidiger für diese Saison damit vom Tisch?
Die Zuschauer glauben immer, man müsse einen ausländischen Verteidiger holen, um die Defensive zu verstärken. Doch das läuft nicht so im Eishockey. Die Defensive besteht immer aus fünf Spielern und einem Goalie. Jeder hat defensive Verpflichtungen. Lausanne spielt seit zwei Jahren ohne ausländische Verteidiger und hat eine der besten Defensiven. Gut, natürlich haben sie einen super Goalie, aber trotzdem, es zeigt, dass alle auf dem Feld defensiv arbeiten müssen. Die Defensive wird nur stabilisiert, wenn jeder den Finger aus dem Po nimmt und zurücksprintet. Sich überall auf dem Eis gegenseitig unterstützen, muss die Devise lauten, mit oder ohne Scheibe. Das ist modernes Eishockey und daran müssen wir noch arbeiten, sehr viel daran arbeiten. Wir haben zu viele Löcher, zu viele Spieler, die sich sagen: Mein Job ist gemacht, ich fahre nun zurück. Es darf aber nicht ein Zurückfahren sein, sondern muss ein Zurücksprinten sein, um sofort Druck von hinten aufzusetzen.
Sie haben also nicht das Gefühl, dass es in der Verteidigung bessere Spieler braucht, um in der Tabelle in den nächsten Jahren wieder nach oben schielen zu dürfen?
Wir haben stabile Verteidiger. Wenn ich mir so anschaue, wer auf dem Markt ist und welche Gehälter die Verteidiger kassieren, die für die besten gehalten werden, dann wird es schwindelerregend. Wenn ich zum Beispiel sehe, wie viel ein Eric Blum in Bern verdient …
…wie viel denn?
Um die 600 000 Franken pro Jahr. Da können wir im Moment nicht mithalten. Klar, wir haben ebenfalls Spieler, die sehr gut bezahlt sind. Aber gerade deshalb sind uns momentan gewisse Limiten gesetzt.
Zur Defensive gehört auch ein guter Goalie. Benjamin Conz hat noch einen Vertrag bis 2018. Ist er der Goalie, auf den Sie in den kommenden Jahren setzen wollen?
Im Moment hab ich noch keine klare Nummer eins. Ich werde es weiterhin so handhaben, dass ich ab und zu wechsle. Sicherlich ist es ideal, eine klare Nummer eins zu haben, da gibt es kein Wenn und Aber. Momentan aber stehen Melvin Nyffeler und Benjamin Conz im Konkurrenzkampf. Einer muss versuchen, sich durchzusetzen.
Aber wird einer der beiden in den nächsten Jahren Gottérons Stammtorhüter sein oder ist auch die Neuverpflichtung eines anderen Torhüters eine Option?
Nein, es gibt auch keine grossen Möglichkeiten, andere Goalies zu holen. Ausser man würde einen ausländischen Torhüter holen, und das finde ich keine gute Idee.
Ihr Spielraum, um das Team auf nächste Saison hin zu verändern, ist sehr klein. Sämtliche Grossverdiener stehen weiter unter Vertrag. Ist das frustrierend für Sie?
Frustrierend würde ich nicht sagen. Natürlich hat man Lust, etwas zu verändern, wenn man neu in einem Klub ist. Vielleicht kann ich aber auch froh sein, dass mein Spielraum klein ist. Ich habe gute Spieler, auch wenn sie momentan nicht alle die Leistung erbringen, die sich der Klub erhofft. Aber wenn ich mir den Markt anschaue und sehe, welche Spieler überhaupt verfügbar wären, bin ich froh, dass ich bereits über eine konkurrenzfähige Mannschaft verfüge. Auch wenn wir noch zwei, drei Änderungen vornehmen müssen.
Trauen Sie diesem Team zu, in den nächsten Jahren um den Titel mitzuspielen?
Wichtig wird sein, einen guten Mix zu erreichen, wieder einmal ein, zwei strategische Wechsel zu tätigen, allenfalls mit einem höheren Budget, denn momentan haben wir nicht die finanziellen Mittel, um einen Topshot zu holen. Mal wieder einen wichtigen Transfer zu machen, täte dem Team aber gut. Zudem müssen wir die Mannschaft ganz klar verjüngen, damit wir das dynamische Hockey, das mir vorschwebt, praktizieren können. Einige Spieler sind in dieser oder nächsten Saison allmählich am Ende. Wenn wir diesen Mix erreichen, habe ich das Gefühl, dass wir auch wieder einmal einen Final erreichen oder sogar den Titel holen können. Aber dazu muss alles zusammenpassen. Denn wenn ich sehe, was Lugano, Zürich, Davos oder Bern mittlerweile für Mannschaften aufstellen, dann muss ich sagen: Da sind wir nicht mehr in der gleichen Liga.
Das Geld ist bei Gottéron momentan knapp. Es droht ein sattes Defizit. Bereitet Ihnen diese finanzielle Situation Sorgen?
Klar, wenn man wie ich längerfristig bei einem Klub bleiben möchte, hofft man natürlich, dass es dem Klub finanziell möglichst gut geht–auch um eine gute Mannschaft zusammenstellen zu können. Wir müssen schauen, dass wir in den nächsten Jahren richtig wirtschaften. Dass wir nicht immer auf ein volles Haus angewiesen sind und uns sagen müssen: Hoppla, das Stadion ist nicht ausverkauft, wir werden einen Verlust einfahren. Es muss das Ziel sein, dass der Klub auch Jahre verkraften kann, in denen nicht alles ideal läuft.
maillot_jumbo- NLB player
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Re: Presse / Medien
NZZ von Heute
Im SCB kehrt der Verteidiger Furrer zurück, es fehlen weiter wichtige Abwehrspieler wie Jobin, Krueger und Gerber. Der SCB bringt erstmals den gegen eine Leasinggebühr bei den Edmonton Oilers ausgeliehenen Finnen Jesse Joensuu, dessen Gewicht der Klub mit 95 Kilo angibt. Der kräftige Flügel wird in der Linie mit den Kanadiern Ritchie und Holloway antreten und gegen Freiburg und den ZSC für Körperkontakte sorgen. Bei Gottéron ist die Lage angespannt. Die Erträge an der Stadionkasse liegen gegenüber dem Budget um 700 000 Franken zurück.
Im SCB kehrt der Verteidiger Furrer zurück, es fehlen weiter wichtige Abwehrspieler wie Jobin, Krueger und Gerber. Der SCB bringt erstmals den gegen eine Leasinggebühr bei den Edmonton Oilers ausgeliehenen Finnen Jesse Joensuu, dessen Gewicht der Klub mit 95 Kilo angibt. Der kräftige Flügel wird in der Linie mit den Kanadiern Ritchie und Holloway antreten und gegen Freiburg und den ZSC für Körperkontakte sorgen. Bei Gottéron ist die Lage angespannt. Die Erträge an der Stadionkasse liegen gegenüber dem Budget um 700 000 Franken zurück.
Puercas69- Amateur
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Re: Presse / Medien
maillot_jumbo a écrit:Das Geld ist bei Gottéron momentan knapp. Es droht ein sattes Defizit. Bereitet Ihnen diese finanzielle Situation Sorgen?
So schnell kanns gehen....
1, 2 sehr nette Vertragsverlängerungen, ein paar zu teure Spieler, die untermässig oder gar nicht spielen, Zuschauer, die müde werden von schlechten Spielen und schon schleifen die Räder wieder im Morast. Gar nicht lustig, sowas. Das schlimmste: ein sauteures neues Stadion, sauteuer....
Räbchen- Junior
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Re: Presse / Medien
Florida Panthers a écrit:Hockey sur glace • Avec un effectif quasi inchangé, les Dragons travaillent dans la continuité. La concurrence s’est bien renforcée. Il leur faudra hausser le ton pour suivre la cadence des grosses cylindrées du championnat.
FRANÇOIS ROSSIER
Il y a douze mois, tout Fribourg rêvait du titre de champion de Suisse. Les transferts de Monnet et Helbling devaient permettre à Gottéron de décrocher enfin ce Graal derrière lequel il patine depuis la nuit des temps. Aujourd’hui, le soufflé est retombé. A l’aube de leur 35e saison consécutive en ligue nationale A, à quelques heures de la venue des Zurich Lions, champions de Suisse en titre, les Dragons n’appartiennent plus aux favoris. Avec un effectif quasi inchangé, l’entraîneur Hans Kossmann a l’avantage de pouvoir travailler dans la continuité. Deuxième de la saison régulière et demi-finaliste des play-off, Gottéron peut-il faire mieux? Ou, au moins, aussi bien? Rien n’est moins sûr…
Enthousiasme mesuré
En fin de saison dernière, les Dragons ont marqué le pas. Conscients du déclin amorcé, déclin qui fait évidemment écho à l’extraordinaire saison 2012/13, les dirigeants de Saint-Léonard ont fait profil bas lors de la présentation des objectifs. Ils ne visent plus qu’«une qualification pour les play-off, si possible dans les quatre premiers». Un enthousiasme pour le mois mesuré… Que faut-il réellement attendre de Fribourg-Gottéron durant cette saison 2014/15? Réponse au travers de cinq thèmes clés.
*****
Les gardiens: Une concurrence bienvenue
Il s’agit à n’en pas douter du grand changement de l’été. L’arrivée de Melvin Nyffeler, 19 ans seulement mais du talent plein la mitaine, a clairement changé la donne. Benjamin Conz, passé au travers de sa demi-finale des play-off où il a souffert de la comparaison avec Martin Gerber, va devoir hausser son niveau.
Le Jurassien a vite compris le message. Après avoir flirté avec le quintal en play-off, il a perdu six kilos durant l’été pour attaquer la nouvelle saison avec 93 kg sur la balance. Fort de son expérience de quatre saisons comme titulaire en LNA, Conz tient toujours la corde et reste le No 1 dans la tête de Hans Kossmann. Mais Nyffeler a les dents longues. Et sa bonne préparation - avec quatre victoires en quatre matches - prouve qu’il possède de sérieux arguments. Cette nouvelle concurrence - pour autant qu’elle reste saine bien sûr - ne pourra que faire du bien à Gottéron. Et bonifier à coup sûr, le poste le plus important d’une équipe de hockey sur glace.
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La défense: Le gros point noir
Avec pas moins de 147 buts encaissés durant les qualifications, soit près de trois buts par match, la défense fribourgeoise a été le gros point noir de la saison dernière. Aucune équipe qualifiée pour les play-off n’avait fait pire. Malgré l’évidente faiblesse de l’arrière de Gottéron, les dirigeants n’ont pas effectué le moindre transfert significatif.
Six mois après le naufrage défensif des play-off, le seul changement a été le remplacement de Birbaum par un junior élite (Montandon)… Après le flop Helbling, Kwiatkowski reste donc le seul et unique leader défensif. A 37 ans, le Canadien aura-t-il encore l’énergie pour se démultiplier soir après soir?
En comparaison avec les grosses cylindrées comme Zurich et Kloten, finalistes des derniers play-off, qui s’appuient sur deux défenseurs étrangers et une flopée d’internationaux, Gottéron ne fait toujours pas le poids. A l’arrivée de Jeannin en 2008, les dirigeants fribourgeois avaient fait de l’engagement d’un défenseur de haut vol une priorité. Six ans plus tard, les supporters de Fribourg-Gottéron attendent toujours…
*****
L’attaque: Plus aussi tranchante
Irrésistible au point d’emmener Gottéron jusqu’en finale en 2013, la «SBP» n’est plus qu’un lointain souvenir. La fragilité de Bykov, qui a manqué toute la préparation et qui sera absent en début de saison à cause d’une commotion, est franchement inquiétante. A 35 ans, Plüss, capitaine exemplaire, aura de la peine à rééditer une saison aussi prolifique que la dernière (38 points). Quant à Sprunger, seulement 12 buts l’an passé, il peine à s’exprimer en l’absence de Bykov, son fidèle compère. Qui alors pour prendre le relais de cette triplette essoufflée? Touché aux côtes à la mi-août, Tambellini ne fera pas tout de suite oublier Hagman. Le Canadien pourrait en revanche avantageusement remplacer le très quelconque Miettinen, mais on n’en est pas encore là.
Lors de la préparation, le duo Mauldin-Pouliot s’est montré percutant, malheureusement la blessure de l’Américain (fractures à la mâchoire) oblige Kossmann à revoir ses plans. Un vrai coup dur que Dubé, précieux mais vieillissant, ou Monnet, loin de répondre aux attentes l’an passé, auront de la peine à faire oublier. Malgré les difficultés actuelles, l’attaque reste la principale force de Gottéron. Toutefois, sans étranger dominant et sans Jeannin, un blessé de longue durée qui n’a pas été remplacé, elle n’est plus aussi tranchante que par le passé.
*****
L’entraîneur: Rigueur et coups de gueule
Depuis son arrivée à la tête de Fribourg-Gottéron, Hans Kossmann (photo Alain Wicht-A) présente un bilan tout simplement remarquable. En trois ans, il a cumulé 96 victoires en 150 matches de saison régulière (64%), deux demi-finales et une finale des play-off! La rigueur imposée par le Canado-Suisse a permis à l’équipe d’exploiter au mieux son potentiel et de s’installer dans le haut du classement. Une brillante progression qui contraste avec des transferts peu inspirés. Le directeur sportif Kossmann ne connaît en effet pas autant de succès que le coach Kossmann. Présentés comme des leaders, Helbling et Monnet peinent à convaincre, alors que des joueurs comme Barinka ou Miettinen ont été vite oubliés.
Malgré ces choix discutables, les dirigeants de Gottéron ont réitéré leur confiance en leur entraîneur en prolongeant son contrat d’un an. Une décision prise avant même le début de la saison qui comporte une part de risques. Ses exigences et son intransigeance sont usantes et pénibles à supporter. L’an passé, ses coups de gueule à répétition ont d’ailleurs sérieusement agacé certains joueurs… Si Gottéron s’installe dans une dynamique positive, la cohabitation continuera d’être fructueuse. Dans le cas contraire, l’atmosphère pourrait vite devenir suffocante.
*****
L’équipe: Sans leader et sans repères
Après un championnat 2012/13 de tous les superlatifs, l’équipe a été confrontée à ses limites la saison dernière. Avec les départs de Heins et Gamache en 2013, et l’interminable commotion de Jeannin, le vestiaire fribourgeois a perdu ses leaders et ses repères. Cela s’est ressenti sur l’ambiance du groupe. Sans parler de dissensions, plusieurs joueurs ont reconnu qu’elle n’était «plus aussi bonne que par le passé».
Les blessures de Bykov (16 matches manqués), Dubé (14) ou Pouliot (10), le transfert abrupt de Loeffel et les jérémiades de Birbaum n’ont rien fait pour arranger les choses. Bien placée au moment des play-off (2e), l’équipe aurait dû faire corps pour atteindre la finale. C’est tout le contraire qui s’est passé avec une série désolante contre Kloten.Dans cette adversité qui fait le sel des play-off, les Fribourgeois n’ont pas su répondre présent. Comme l’esprit revanchard ne transpire pas du vestiaire fribourgeois, les Dragons devront absolument retrouver cette soif de vaincre qui leur a fait cruellement défaut au printemps passé sous peine de vivre d’autres désillusions.
Remember... Dire que les gars ont fait leurs vierges effarouchées après cet article. Rossier lui-même n'aurait jamais pensé que ce serait encore bien pire que ses pires craintes.
Jon- NHL superstar
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Re: Presse / Medien
Le fait qu'un journaliste ose mettre en évidence les faiblesses du groupe était considéré de la plus haute trahison!
Quand on n'aime pas que l'on mette en évidence les lacunes... On a voulu économiser à des endroits-clés dans l'entourage de l'équipe, combien cette année catastrophique va-t-elle coûter?
Il ne manquerait plus qu'une relégation pour que le tableau soit complet... Quoique je pense que cette équipe à les moyens de s'en sortir avant.
Quand on n'aime pas que l'on mette en évidence les lacunes... On a voulu économiser à des endroits-clés dans l'entourage de l'équipe, combien cette année catastrophique va-t-elle coûter?
Il ne manquerait plus qu'une relégation pour que le tableau soit complet... Quoique je pense que cette équipe à les moyens de s'en sortir avant.
Chris68- NLB player
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Re: Presse / Medien
DrakeRamore a écrit:C'était juste de A à Z mais ces Mickey se voyaient plus malins...
Drake, veux-tu cesser immédiatement d'insulter Mickey?!?
bora-bora- NLB player
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Re: Presse / Medien
y en a marre de cette bande de loosers.
money time- Novice
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Re: Presse / Medien
Deja vu……?
watson.ch
Kloten ist in den letzten Monaten das NLA-Unternehmen geworden, das aus seinem Potenzial am wenigsten herausholt. Noch selten ist in der Geschichte der NLA so viel Geld so unglücklich gemanagt worden wie diese Saison in Kloten.
Wenn es ganz dumm läuft, dann wird der Betriebsverlust der Kloten Flyers Ende Saison ungefähr so hoch sein wie das Budget für die erste Mannschaft beim EHC Biel.
Für nächste Saison stehen bereits zu viele Altstars unter Vertrag (Gerber, Santala, Dupont, Vandermeer, Back, Liniger).
Aber ein funktionierendes Hockeyunternehmen ist durch den neuen Besitzer in den Grundfesten erschüttert worden. Die Zuschauerzahlen sind inzwischen rückläufig, die Unterstützung durch die lokale Wirtschaft könnte besser sein, die Vermarktung auch, und Administration und Mannschaft sind teurer geworden. Die Kloten Flyers haben einen Imageverlust erlitten und wecken da und dort eher Schadenfreude als Begeisterung. Der Betriebsverlust betrug letzte Saison mindestens sechs Millionen und könnte am Ende dieser Saison noch höher sein. Zum zweiten Mal in drei Jahren droht das Verpassen der Playoffs.
Der Kanadier wollte nicht sagen, was in Kloten verbessert werden muss. «Denn dann würde ich schlecht über meinen Vorgänger reden. Das hat Felix Hollenstein nicht verdient. Ich habe mich früher immer geärgert, wenn neue Trainer die Fehler aufgezählt haben, die es nun zu korrigieren gebe. Ich empfinde das als Respektlosigkeit gegenüber dem Vorgänger.» Er könne nur das sagen, was auf dem Eis zu sehen sei. Und da haben wir verunsicherte Spieler und als Resultat dieser Verunsicherung viel zu viele Fehler gesehen.
War der Vertrag mit Hollenstein schon verlängert?
Offiziell heisst es, der geschasste Trainer Felix Hollenstein müsse noch bis Saisonende bezahlt werden. Inoffiziell und von mehreren Seiten wird bestätigt, dass der Vertrag mit Felix Hollenstein und Kimmo Rintanen bereits im Herbst vorzeitig um ein weiteres Jahr bis 2016 verlängert worden sei. Da Präsident und Besitzer Philippe Gaydoul so oder so Ende Saison für das Defizit aufkommen wird, spielt es eigentlich keine Rolle, wie lange der entlassene Trainer und sein Assistent noch entlöhnt werden müssen. Per Ende Saison wird in Kloten nach konservativen Schätzungen ein Defizit von rund 8 Millionen Franken erwartet.
watson.ch
Kloten ist in den letzten Monaten das NLA-Unternehmen geworden, das aus seinem Potenzial am wenigsten herausholt. Noch selten ist in der Geschichte der NLA so viel Geld so unglücklich gemanagt worden wie diese Saison in Kloten.
Wenn es ganz dumm läuft, dann wird der Betriebsverlust der Kloten Flyers Ende Saison ungefähr so hoch sein wie das Budget für die erste Mannschaft beim EHC Biel.
Für nächste Saison stehen bereits zu viele Altstars unter Vertrag (Gerber, Santala, Dupont, Vandermeer, Back, Liniger).
Aber ein funktionierendes Hockeyunternehmen ist durch den neuen Besitzer in den Grundfesten erschüttert worden. Die Zuschauerzahlen sind inzwischen rückläufig, die Unterstützung durch die lokale Wirtschaft könnte besser sein, die Vermarktung auch, und Administration und Mannschaft sind teurer geworden. Die Kloten Flyers haben einen Imageverlust erlitten und wecken da und dort eher Schadenfreude als Begeisterung. Der Betriebsverlust betrug letzte Saison mindestens sechs Millionen und könnte am Ende dieser Saison noch höher sein. Zum zweiten Mal in drei Jahren droht das Verpassen der Playoffs.
Der Kanadier wollte nicht sagen, was in Kloten verbessert werden muss. «Denn dann würde ich schlecht über meinen Vorgänger reden. Das hat Felix Hollenstein nicht verdient. Ich habe mich früher immer geärgert, wenn neue Trainer die Fehler aufgezählt haben, die es nun zu korrigieren gebe. Ich empfinde das als Respektlosigkeit gegenüber dem Vorgänger.» Er könne nur das sagen, was auf dem Eis zu sehen sei. Und da haben wir verunsicherte Spieler und als Resultat dieser Verunsicherung viel zu viele Fehler gesehen.
War der Vertrag mit Hollenstein schon verlängert?
Offiziell heisst es, der geschasste Trainer Felix Hollenstein müsse noch bis Saisonende bezahlt werden. Inoffiziell und von mehreren Seiten wird bestätigt, dass der Vertrag mit Felix Hollenstein und Kimmo Rintanen bereits im Herbst vorzeitig um ein weiteres Jahr bis 2016 verlängert worden sei. Da Präsident und Besitzer Philippe Gaydoul so oder so Ende Saison für das Defizit aufkommen wird, spielt es eigentlich keine Rolle, wie lange der entlassene Trainer und sein Assistent noch entlöhnt werden müssen. Per Ende Saison wird in Kloten nach konservativen Schätzungen ein Defizit von rund 8 Millionen Franken erwartet.
Puercas69- Amateur
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Re: Presse / Medien
Il n'y aurait pas que chez nous qu'on paye des entraîneurs dans le vide? Et bien des joueurs...
bora-bora- NLB player
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Re: Presse / Medien
Sehr guter Bericht und Analyse !!! Gefunden in den FN online !
Die Spieler sollten dies auch mal lesen.....
In seine Einzelteile zerlegt
Gottéron gibt zum Ende des Jahres 2014 auf allen Ebenen ein jämmerliches Bild ab. Zum Absturz konnte es kommen, weil der Klub und verschiedene seiner Exponenten nach erfolgreichen Jahren zu selbstgefällig wurden. Kriegen die Freiburger 2015 wieder die Kurve?
Zwei Jahre ist es her, da war bei Gottéron kein einziges dunkles Wölkchen in Sicht. Als klarer Leader der Meisterschaft gewannen die Freiburger am Spengler-Cup mit beherzten Auftritten in der ganzen Eishockey-Schweiz Sympathien. Der Klub war eine Einheit: Spieler, Trainer und Vereinsfunktionäre verbrachten die Altjahrswoche gemeinsam in Davos, die Fans tanzten mit ihren Lieblingen ausgelassen den «Kiwi-Dance». Wenige Monate später erreichte Gottéron den Playoff-Final. Danach lief es zwar nicht mehr ganz so rund, immerhin aber schloss Freiburg das Jahr 2013 als Tabellendritter ab.
Eine Selbstdemontage
Ein Jahr später liegt Gottéron am Boden. Die Mannschaft belegt den zweitletzten Rang, der Klub hat sich quasi beim ersten sportlichen Gegenwind gleich selbst in seine Einzelteile zerlegt. Spieler und Fans scheinen nicht zum selben Klub zu gehören, sondern eher miteinander auf Kriegsfuss zu stehen. Ähnlich sieht das Verhältnis zwischen Vereinsfunktionären–insbesondere der bei den Zuschauern unbeliebte Generaldirektor Raphaël Berger–und den Fans aus. Präsident Michel Volet amtet seinerseits nur ad interim. Und der neue Trainer Gerd Zenhäusern sucht derweil noch seine Rolle. Diejenige als Spielerversteher, der dem Team das Selbstvertrauen zurückgibt, hat sich schnell abgenutzt. Jetzt muss er nach neuen Impulsen suchen–und gleichzeitig am Team für nächste Saison basteln. Ein Doppelmandat, das er eigentlich nicht ausfüllen möchte.
Verhängnisvoller Trade
Dass es mit Gottéron derart schnell bergab gehen konnte, ist der Selbstgefälligkeit vieler Exponenten des Klubs geschuldet. Da wäre zunächst Hans Kossmann, der als Trainer in den letzten Jahren einen sehr guten Job gemacht hatte, sich nach den Erfolgen allerdings für gar unantastbar hielt und als Sportchef einige falsche Entscheide traf. Der grösste Fehler war es, Ende Januar Romain Loeffel, ohne ihn vorher zu fragen oder zu informieren, nach Genf zu transferieren. Nicht, weil der Verteidiger als dermassen stärker einzustufen wäre als Jérémie Kamerzin, der im Gegenzug zu Freiburg wechselte. Sondern weil es durch die Demütigung eines beliebten langjährigen Gottéron-Spielers zum Bruch zwischen Trainer und Mannschaft kam. Ein Riss, der bis zu Kossmanns Entlassung im Oktober nie wieder gekittet werden konnte.
Daran, dass Hans Kossmann mit solchen Methoden sowie mit harten, lauten Worten sein Team zu pushen versuchte, tragen die Spieler jedoch auch selbst Schuld. Letztlich ist Selbstzufriedenheit ebenfalls eine Form von Selbstgefälligkeit. Und nach Jahren, in denen die Freiburger an der Tabellenspitze mitgespielt haben, war diese Selbstzufriedenheit unübersehbar; der Wille, hart zu arbeiten und an die eigenen Grenzen zu gehen, bei vielen nicht vorhanden.
Retourkutsche der Fans
Besonders gefährlich ist der Fall Gottérons, weil der Klub in den letzten Jahren eine Strategie verfolgt hat, die nur in erfolgreichen Zeiten aufgeht und deshalb nicht wirklich für eine sportliche Krise taugt, wie sie bei fast allen Sportvereinen der Welt immer wieder einmal vorkommt. Der Bruch mit dem Publikum ist besorgniserregend gross. Dies, weil der Klub in den letzten Jahren ihm gegenüber ebenfalls viel zu selbstherrlich aufgetreten war. Weil die Nachfrage gross war, hielt es der Klub in den erfolgreichen Zeiten nicht für notwendig, die Fans zu hätscheln. Stattdessen gab er ihnen das Gefühl, als könnten sie froh sein, Anhänger dieser Mannschaft zu sein und sich ein Spiel im Stadion anschauen zu dürfen.
Die Preise, auch für die völlig überfüllten Stehplatzsektoren, wurden ständig erhöht. Selbst das Bier wurde teurer, die Zitrone bis auf den letzten Tropfen ausgepresst und damit die Erwartungshaltung gesteigert, die Frustrationstoleranz verkleinert. In den Briefen an die Abonnenten gab der Klub im Sommer jeweils an, bis wann die Abos zu bezahlen sind, verbunden mit der Drohung, dass es bei Nichteinhaltung weiterverkauft wird. Wie selbstverständlich wurden auf diese Saison hin auch die Kosten für Freiburgs Beitritt zum Hooligankonkordat gänzlich auf die Fans überwälzt. Kritische Fragen zum Umgang mit den eigenen Zuschauern beantwortete Raphaël Berger in den vergangenen Jahren oft mit dem Gesetz von Angebot und Nachfrage. Klar, dass diese arrogante Haltung in schwierigen Zeiten abgestraft wird–mit einem Nachfragerückgang. Und mit enttäuschten Pfiffen bei schlechten Leistungen.
Streit hinter den Kulissen
Als wäre das alles nicht genug, zerstritt sich der Klub 2014 auch noch hinter den Kulissen. Als gerade ein bisschen Ruhe einzukehren schien, drängten die Kantonalbank und Groupe E als Hauptsponsoren Präsident Charles Phillot im November zum Rücktritt und machten so erneut schlechte Werbung für den Klub. Einerseits, weil Phillot den Vertrag mit Kossmann vor der Saison etwas voreilig um ein Jahr verlängert hatte. Andererseits, weil er sich nicht von den Sponsoren reinreden lassen mochte. So unterstützte er beispielsweise stets die Stadionpläne der Firma Losinger Marazzi, obwohl Gottéron bei diesem Projekt ziemlich hohe Mietkosten bezahlen muss. Die Sponsoren hätten lieber das Grossprojekt von Promotor Pascal Kuenlin gesehen, in dem noch ein Schwimmzentrum vorgesehen war, das letztlich aber den Kürzeren zog.
Kathartische Wirkung oder Negativspirale?
Kurz: Gottéron gibt am Ende des Jahres 2014 auf allen Ebenen ein jämmerliches Bild ab. Sportlich schlechte Jahre können manchmal durchaus eine kathartische Wirkung haben. Der SC Bern und der EV Zug beispielsweise standen letzte Saison in den Playouts und haben sich auf diese Saison hin erfolgreich neu erfunden.
Ein reinigender Effekt kann aber nur dann auftreten, wenn sich alle Beteiligten hinterfragen und aus den Fehlern lernen. Alles andere als sicher, dass dies bei Gottéron der Fall ist. Viele Spieler scheinen den Ernst der Lage noch immer nicht erkannt zu haben–oder aber es ist ihnen schlicht egal. Wenn sich selbst Gegner, die sich in der Komfortzone der Tabelle befinden, regelmässig öfter in die Schüsse werfen und Checks austeilen als die Freiburger, wirft das Fragen auf. Auf diese Weise werden sich die Spieler sicherlich nicht mit den Zuschauern versöhnen–und eher früher als später auch ihren neuen Trainer Gerd Zenhäusern verärgern.
Der Klub seinerseits ist ebenfalls weiterhin nicht gerade auf Schmusekurs mit seinen Fans. «Das Team der HCFG wünscht allen Kunden frohe Festtage», schrieb er kurz vor Weihnachten auf seiner Facebook-Seite. Das Wort «Kunde» ist ein ungewolltes Indiz für die steigende Entfremdung zwischen Klub und Fans. Erst recht, weil Gottéron seine Kunden immer noch nicht wie Könige behandelt. Als letzte Woche im Spiel gegen Bern ein Mann vor mir nicht sofort verstand, wo er hinsoll, raunzte ihn der Ordner sofort an: «Sie können auch gleich wieder nach Hause gehen, das ist mir völlig egal. Aber hier stehen bleiben können Sie nicht.» Da wurde es wieder vermittelt, das Gefühl, es sei ein Privileg, Gottéron-Fan sein zu dürfen. Obwohl sich der Klub in den letzten Wochen besorgt zeigte über die sinkenden Zuschauerzahlen, sind solche Szenen im Stadion auch heute noch keineswegs Einzelfälle.
Bei den Sponsoren wiederum gibt es einige Leute, die sich allzu sehr in die Belange des Klubs einmischen wollen. Was offiziell niemand sagt, bestätigen Klubinsider hinter vorgehaltener Hand. Keine Frage, dass es für einen Sportklub nie von Vorteil ist, wenn Aussenstehende zu viel Einfluss haben.
Es sieht also momentan nicht danach aus, als würden sich die einzelnen Teile Gottérons 2015 so bald wieder zu einem erfolgreichen Puzzle zusammensetzen. Dass aus Gottéron auf und neben dem Eis wieder eine Einheit wird, ist aber unabdingbar. Ansonsten droht die logische Negativspirale: sinkendes Zuschauerinteresse, sinkende Attraktivität für Sponsoren, weniger Geld für Spieler … und das Ganze wieder von vorne. Das wiederum könnte plötzlich sogar die Umsetzung des für den Klub so wichtigen Baus des neuen Stadions gefährden. 2015 kündigt sich für Gottéron als ebenso schwierigeswie wegweisendes Jahr an.
Die Spieler sollten dies auch mal lesen.....
In seine Einzelteile zerlegt
Gottéron gibt zum Ende des Jahres 2014 auf allen Ebenen ein jämmerliches Bild ab. Zum Absturz konnte es kommen, weil der Klub und verschiedene seiner Exponenten nach erfolgreichen Jahren zu selbstgefällig wurden. Kriegen die Freiburger 2015 wieder die Kurve?
Zwei Jahre ist es her, da war bei Gottéron kein einziges dunkles Wölkchen in Sicht. Als klarer Leader der Meisterschaft gewannen die Freiburger am Spengler-Cup mit beherzten Auftritten in der ganzen Eishockey-Schweiz Sympathien. Der Klub war eine Einheit: Spieler, Trainer und Vereinsfunktionäre verbrachten die Altjahrswoche gemeinsam in Davos, die Fans tanzten mit ihren Lieblingen ausgelassen den «Kiwi-Dance». Wenige Monate später erreichte Gottéron den Playoff-Final. Danach lief es zwar nicht mehr ganz so rund, immerhin aber schloss Freiburg das Jahr 2013 als Tabellendritter ab.
Eine Selbstdemontage
Ein Jahr später liegt Gottéron am Boden. Die Mannschaft belegt den zweitletzten Rang, der Klub hat sich quasi beim ersten sportlichen Gegenwind gleich selbst in seine Einzelteile zerlegt. Spieler und Fans scheinen nicht zum selben Klub zu gehören, sondern eher miteinander auf Kriegsfuss zu stehen. Ähnlich sieht das Verhältnis zwischen Vereinsfunktionären–insbesondere der bei den Zuschauern unbeliebte Generaldirektor Raphaël Berger–und den Fans aus. Präsident Michel Volet amtet seinerseits nur ad interim. Und der neue Trainer Gerd Zenhäusern sucht derweil noch seine Rolle. Diejenige als Spielerversteher, der dem Team das Selbstvertrauen zurückgibt, hat sich schnell abgenutzt. Jetzt muss er nach neuen Impulsen suchen–und gleichzeitig am Team für nächste Saison basteln. Ein Doppelmandat, das er eigentlich nicht ausfüllen möchte.
Verhängnisvoller Trade
Dass es mit Gottéron derart schnell bergab gehen konnte, ist der Selbstgefälligkeit vieler Exponenten des Klubs geschuldet. Da wäre zunächst Hans Kossmann, der als Trainer in den letzten Jahren einen sehr guten Job gemacht hatte, sich nach den Erfolgen allerdings für gar unantastbar hielt und als Sportchef einige falsche Entscheide traf. Der grösste Fehler war es, Ende Januar Romain Loeffel, ohne ihn vorher zu fragen oder zu informieren, nach Genf zu transferieren. Nicht, weil der Verteidiger als dermassen stärker einzustufen wäre als Jérémie Kamerzin, der im Gegenzug zu Freiburg wechselte. Sondern weil es durch die Demütigung eines beliebten langjährigen Gottéron-Spielers zum Bruch zwischen Trainer und Mannschaft kam. Ein Riss, der bis zu Kossmanns Entlassung im Oktober nie wieder gekittet werden konnte.
Daran, dass Hans Kossmann mit solchen Methoden sowie mit harten, lauten Worten sein Team zu pushen versuchte, tragen die Spieler jedoch auch selbst Schuld. Letztlich ist Selbstzufriedenheit ebenfalls eine Form von Selbstgefälligkeit. Und nach Jahren, in denen die Freiburger an der Tabellenspitze mitgespielt haben, war diese Selbstzufriedenheit unübersehbar; der Wille, hart zu arbeiten und an die eigenen Grenzen zu gehen, bei vielen nicht vorhanden.
Retourkutsche der Fans
Besonders gefährlich ist der Fall Gottérons, weil der Klub in den letzten Jahren eine Strategie verfolgt hat, die nur in erfolgreichen Zeiten aufgeht und deshalb nicht wirklich für eine sportliche Krise taugt, wie sie bei fast allen Sportvereinen der Welt immer wieder einmal vorkommt. Der Bruch mit dem Publikum ist besorgniserregend gross. Dies, weil der Klub in den letzten Jahren ihm gegenüber ebenfalls viel zu selbstherrlich aufgetreten war. Weil die Nachfrage gross war, hielt es der Klub in den erfolgreichen Zeiten nicht für notwendig, die Fans zu hätscheln. Stattdessen gab er ihnen das Gefühl, als könnten sie froh sein, Anhänger dieser Mannschaft zu sein und sich ein Spiel im Stadion anschauen zu dürfen.
Die Preise, auch für die völlig überfüllten Stehplatzsektoren, wurden ständig erhöht. Selbst das Bier wurde teurer, die Zitrone bis auf den letzten Tropfen ausgepresst und damit die Erwartungshaltung gesteigert, die Frustrationstoleranz verkleinert. In den Briefen an die Abonnenten gab der Klub im Sommer jeweils an, bis wann die Abos zu bezahlen sind, verbunden mit der Drohung, dass es bei Nichteinhaltung weiterverkauft wird. Wie selbstverständlich wurden auf diese Saison hin auch die Kosten für Freiburgs Beitritt zum Hooligankonkordat gänzlich auf die Fans überwälzt. Kritische Fragen zum Umgang mit den eigenen Zuschauern beantwortete Raphaël Berger in den vergangenen Jahren oft mit dem Gesetz von Angebot und Nachfrage. Klar, dass diese arrogante Haltung in schwierigen Zeiten abgestraft wird–mit einem Nachfragerückgang. Und mit enttäuschten Pfiffen bei schlechten Leistungen.
Streit hinter den Kulissen
Als wäre das alles nicht genug, zerstritt sich der Klub 2014 auch noch hinter den Kulissen. Als gerade ein bisschen Ruhe einzukehren schien, drängten die Kantonalbank und Groupe E als Hauptsponsoren Präsident Charles Phillot im November zum Rücktritt und machten so erneut schlechte Werbung für den Klub. Einerseits, weil Phillot den Vertrag mit Kossmann vor der Saison etwas voreilig um ein Jahr verlängert hatte. Andererseits, weil er sich nicht von den Sponsoren reinreden lassen mochte. So unterstützte er beispielsweise stets die Stadionpläne der Firma Losinger Marazzi, obwohl Gottéron bei diesem Projekt ziemlich hohe Mietkosten bezahlen muss. Die Sponsoren hätten lieber das Grossprojekt von Promotor Pascal Kuenlin gesehen, in dem noch ein Schwimmzentrum vorgesehen war, das letztlich aber den Kürzeren zog.
Kathartische Wirkung oder Negativspirale?
Kurz: Gottéron gibt am Ende des Jahres 2014 auf allen Ebenen ein jämmerliches Bild ab. Sportlich schlechte Jahre können manchmal durchaus eine kathartische Wirkung haben. Der SC Bern und der EV Zug beispielsweise standen letzte Saison in den Playouts und haben sich auf diese Saison hin erfolgreich neu erfunden.
Ein reinigender Effekt kann aber nur dann auftreten, wenn sich alle Beteiligten hinterfragen und aus den Fehlern lernen. Alles andere als sicher, dass dies bei Gottéron der Fall ist. Viele Spieler scheinen den Ernst der Lage noch immer nicht erkannt zu haben–oder aber es ist ihnen schlicht egal. Wenn sich selbst Gegner, die sich in der Komfortzone der Tabelle befinden, regelmässig öfter in die Schüsse werfen und Checks austeilen als die Freiburger, wirft das Fragen auf. Auf diese Weise werden sich die Spieler sicherlich nicht mit den Zuschauern versöhnen–und eher früher als später auch ihren neuen Trainer Gerd Zenhäusern verärgern.
Der Klub seinerseits ist ebenfalls weiterhin nicht gerade auf Schmusekurs mit seinen Fans. «Das Team der HCFG wünscht allen Kunden frohe Festtage», schrieb er kurz vor Weihnachten auf seiner Facebook-Seite. Das Wort «Kunde» ist ein ungewolltes Indiz für die steigende Entfremdung zwischen Klub und Fans. Erst recht, weil Gottéron seine Kunden immer noch nicht wie Könige behandelt. Als letzte Woche im Spiel gegen Bern ein Mann vor mir nicht sofort verstand, wo er hinsoll, raunzte ihn der Ordner sofort an: «Sie können auch gleich wieder nach Hause gehen, das ist mir völlig egal. Aber hier stehen bleiben können Sie nicht.» Da wurde es wieder vermittelt, das Gefühl, es sei ein Privileg, Gottéron-Fan sein zu dürfen. Obwohl sich der Klub in den letzten Wochen besorgt zeigte über die sinkenden Zuschauerzahlen, sind solche Szenen im Stadion auch heute noch keineswegs Einzelfälle.
Bei den Sponsoren wiederum gibt es einige Leute, die sich allzu sehr in die Belange des Klubs einmischen wollen. Was offiziell niemand sagt, bestätigen Klubinsider hinter vorgehaltener Hand. Keine Frage, dass es für einen Sportklub nie von Vorteil ist, wenn Aussenstehende zu viel Einfluss haben.
Es sieht also momentan nicht danach aus, als würden sich die einzelnen Teile Gottérons 2015 so bald wieder zu einem erfolgreichen Puzzle zusammensetzen. Dass aus Gottéron auf und neben dem Eis wieder eine Einheit wird, ist aber unabdingbar. Ansonsten droht die logische Negativspirale: sinkendes Zuschauerinteresse, sinkende Attraktivität für Sponsoren, weniger Geld für Spieler … und das Ganze wieder von vorne. Das wiederum könnte plötzlich sogar die Umsetzung des für den Klub so wichtigen Baus des neuen Stadions gefährden. 2015 kündigt sich für Gottéron als ebenso schwierigeswie wegweisendes Jahr an.
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Re: Presse / Medien
Tout juste la FN! Très bonne analyse
Y a plus qu'a attendre la convocation du journaliste par Berger.
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