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Thomas Östlund

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Message par hs16 Mer 9 Juil 2014 - 18:59

Son fiston a signé un accord avec Lugano!

Le HC Lugano informe avoir conclu un accord de collaboration avec le club suédois d'IFK Arboga au sujet de Viktor Ostlund (20 ans).

Le jeune gardien n'est autre que le fils de l'ancien portier du HC Fribourg-Gottéron Thomas Ostlund, qui a gardé la cage fribourgeoise entre 1996 et 2001. Le jeune Östlund est ainsi titulaire d'une licence suisse.

Cet accord prévoit que Viktor Östlund continuera de jouer dans le championnat suédois, mais pourra prêter main-forte en cas d'indisponibilité de l'un des deux portiers titulaires du HCL que sont Daniel Manzato et Elvis Merzlikins.

Pour favoriser son intégration dans le groupe, Viktor Östlund se joindra au staff des joueurs à l'occasion du camp d'entraînement que le HC Lugano réalisera dans la région de Götebörg entre le 25 août et le 1er septembre.
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Message par DrakeRamore Mer 9 Juil 2014 - 20:48

Ça c'est dommage...
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Message par Florida Panthers Jeu 24 Juil 2014 - 14:16

Très dommage !

Oestlund c'est connoté avec Fribourg ! Pas Lugano ...

Mais bon niveau très fort gardien jeunes on est plus que gâté avec nos 3 gardiens !!!
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Message par hs16 Jeu 24 Juil 2014 - 14:27

Florida Panthers a écrit:Très dommage !

Oestlund c'est connoté avec Fribourg ! Pas Lugano ...

Mais bon niveau très fort gardien jeunes on est plus que gâté avec nos 3 gardiens !!!

On le serait encore plus si on pouvait les aligner les 3 en même temps...

OK je sors!
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Message par Florida Panthers Mar 26 Aoû 2014 - 14:16


Hockey sur glace • Douze ans après avoir raccroché ses patins, Thomas Östlund, l’ancien gardien de Gottéron, travaille en tant qu’entrepreneur, chez lui à Stockholm.


Patricia Morand, Stockholm


Thomas Östlund a porté le maillot de Gottéron de 1996 à 2001. Le Suédois a été le plus grand gardien de l’histoire des Dragons par sa taille (194 cm pour 100 kg). Il a également laissé une trace dans les annales du club grâce à ses performances. A la base d’une saison 1997-98 réussie au-delà de tous les espoirs (2e rang et demi-finales dans la foulée), il a remporté le trophée Jacques Plante promis au meilleur portier du championnat suisse.

Le géant scandinave n’a pas oublié sa seule expérience à l’étranger. Il s’est fait un devoir d’assister, jeudi soir, à la rencontre entre son dernier club, Djurgarden, et Gottéron. Il était même présent au cœur de la partie! Benjamin Conz a en effet une image d’Östlund sur son masque. Avant la rencontre, l’ancien hockeyeur a évoqué avec un poil de nostalgie son passé de sportif professionnel et raconté sa vie actuelle en sirotant un café à deux pas du Globe de Stockholm et des bureaux de son entreprise de distribution de viande (Svenskt Butikskött AB). Physiquement, l’homme n’a pas changé.

Thomas Östlund, vous n’aviez disputé qu’une demi-saison à votre retour en Suède en 2001. Que s’est-il passé?

Les problèmes se sont enchaînés. J’ai été victime d’une sorte d’infection du sang. En septembre, c’était au bras. J’ai pris des antibiotiques et je suis peut-être revenu trop tôt au jeu. En décembre, c’est mon genou qui a été touché. Il était tellement enflammé qu’il a fallu appeler l’ambulance le soir de Noël. J’ai passé une semaine à l’hôpital sous perfusion. Je voulais revenir à la compétition pour jouer dans le Globe, où j’avais arrêté les premiers pucks lors de l’inauguration de 1989. Mais avec 4 000 spectateurs dans une enceinte pouvant en accueillir 14 000, l’ambiance était plutôt plate. Il n’y avait pas ce supplément d’adrénaline qui aurait pu me motiver à crocher. J’avais 37 ans et je commençais à sentir mon corps changer.

Retiré du sport professionnel, vous avez immédiatement rebondi…

J’ai travaillé pour la société de mon père dans le commerce de la viande. Il parlait d’arrêter et je me suis donné un an pour me familiariser avec ce domaine avant de me décider à reprendre. J’étais motivé à faire croître l’entreprise. Avant de venir en Suisse, je travaillais dans une compagnie d’assurances à côté du hockey. Je voulais faire autre chose après avoir raccroché mes patins.

En 2002, l’entreprise affichait un chiffre d’affaires de dix millions d’euros et employait 20 personnes. Douze ans plus tard, ce sont 200 employés et un chiffre d’affaires dix fois plus élevé. Nous avons nos propres abattoirs, où nous traitons l’agneau, le bœuf et le porc. Je me suis également lancé dans la filière bio en fondant une autre société. Nous fournissons tous les grands supermarchés suédois. C’est un produit en pleine croissance. Notre entreprise fournit 5% de la production de viande suédoise.

N’avez-vous pas assez gagné patins aux pieds pour vivre de vos rentes?

Non, mais ce n’est pas que ça. Le travail m’intéresse. J’ai un objectif, une folle envie de développer quelque chose, en l’occurrence dans le bio. C’est stimulant. Je suis un leader moral et je dois apprendre à maîtriser mon langage. Dans un vestiaire, on est tous face à face. Il arrive qu’on dise n’importe quoi. Au travail, il faut mesurer ses paroles. Par ailleurs, lorsqu’il y avait vingt employés, je pouvais être partout. Aujourd’hui, ce n’est plus le cas. Je dois m’entourer de gens de confiance pour assurer les relais. Un patron ressemble à un hockeyeur: il ne peut rien faire sans tous ses coéquipiers et l’encadrement de l’équipe.

Pourquoi n’êtes-vous pas resté dans le hockey comme tant d’autres?

En cinq ans à Fribourg, j’ai vu défiler sept entraîneurs! Les déménagements ne sont pas volontaires, mais con- traints. J’ai été brièvement entraîneur de gardiens. Je connais des gens à AIK Stockholm, mon premier club, comme à Djurgarden. Je serais plutôt tenté par un poste de dirigeant. Mais ce n’est pas une priorité. A Stockholm, il y a pas mal de problèmes. D’ailleurs AIK vient d’être relégué alors que Djurgarden a fait le chemin inverse. Les équipes changent beaucoup. Les clubs ne tirent aucun profit des ventes de boissons et de nourriture durant les matches. Comme c’était le cas à Fribourg à mon arrivée… Du coup, une saison coûte très cher. Et c’est pour cette raison qu’il n’y a plus une seule rencontre de championnat depuis quatre ans au Globe. On joue dans l’ancienne patinoire voisine, au Hovet, plus petite. La location est moins onéreuse.

N’avez-vous vraiment plus jamais enfilé votre armure de gardien depuis 2002?

J’ai joué quelques matches avec les vétérans. Mais un gardien ne peut tenir sa place sans préparation. C’est dan- gereux. Je me suis d’ailleurs blessé… Désormais, je me contente d’aller sur la glace avec des clients. Juste pour le plaisir. Sinon, j’essaie de garder la forme en courant, en pédalant ou en levant des poids. C’est important pour moi de me sentir bien dans mon corps et bien dans ma tête. J’ai besoin d’une activité après des heures au bureau. J’aurai cinquante ans l’an prochain et je sens bien que mon corps n’est plus comme avant.

Entre hockeyeur professionnel et patron d’entreprise, que préférez-vous?

Ce sont deux métiers différents. Les deux m’ont donné ou me donnent du plaisir. Le sport, un jour, c’est fini. Et ça, c’est dur. Tout d’un coup, tu n’es plus reconnu. Certains accusent le coup. Le problème, c’est de trouver quelque chose pour s’occuper. Quand un grand sportif arrête, il a peut-être assez d’argent, mais il est trop jeune pour ne rien faire de sa vie! C’est le travail des agents et des clubs de préparer un sportif à l’après-carrière. Il faut avoir des plans. L’argent ne garantit pas le bonheur. Moi, j’ai été heureux d’être gardien et aujourd’hui, je suis heureux de faire quelque chose de nouveau avec mes entreprises. Certains sont fatigués de travailler à 35 ans. Je suis positif: je me dis que j’ai commencé à 38 ans…

***

«Heureux pour Gottéron»

Thomas Östlund se plonge avec délectation dans son passé fribourgeois. Il rigole. «En découvrant la patinoire, j’avais cru qu’elle avait été construite dans les années soixante avant que j’apprenne qu’elle datait de 1981 ou 1982. Je sais par contre qu’il y a une deuxième piste de glace depuis.» On l’informe qu’une nouvelle enceinte sera construite au même emplacement. «Ce n’est sûrement pas un luxe.» Les souvenirs se bousculent. Quel est le meilleur? «La chaleur des gens en général et l’enthousiasme des fans en particulier, comme un peu dans toute la Suisse. On voue un véritable culte à son équipe fétiche», souffle le Suédois. «La venue de Bykov et Khomutov, quelques années avant moi, n’y est sans doute pas étrangère. J’ai toujours ressenti un énorme engouement autour du hockey à Fribourg. Par contre, à l’époque, l’organisation du club n’était pas professionnelle comme c’est encore le cas en Suède. Il y a trop d’amateurisme et les gens font partie d’un comité parce que cela fait joli. Durant mon passage à Fribourg, il y avait trop de responsabilités confiées à une seule personne. Que ce soit dans le domaine du business ou celui du hockey. C’était l’époque de Marc Leuenberger et de Roland von Mentlen.…»

Thomas Östlund avoue être retourné deux fois sur les bords de la Sarine depuis son départ. «J’ai gardé des contacts avec Franz Engel, le docteur, Bruno Knutti (préparateur physique) ou encore les anciens défenseurs Fredy Bobillier et Livio Fazio», dit-il. «Je suis le championnat suisse à distance et je suis heureux pour Gottéron qui fait partie du top quatre helvétique depuis quelques années», conclut-il en souriant. Pam

***

Sur les traces de son père

Thomas Östlund vient d’effectuer un séjour à Lugano, où il a rendu visite à son fils Viktor (20 ans). Gardien lui aussi, ce dernier a signé un contrat de deux ans avec le club tessinois. Troisième portier des bianconeri avec qui il effectue une partie de la préparation, il a toutefois été prêté à la formation suédoise d’Arboga qui évolue en deuxième division. «Mon fils a joué la semaine dernière un demi-match avec Lugano», annonce Thomas Östlund en sortant son smartphone pour montrer quelques photos. «Manzato était malade et Viktor deuxième gardien. Il est entré en jeu. Pour moi, c’est sympa: il profite du fait que j’ai joué en Suisse (Viktor y a eu sa première licence et n’est donc pas considéré comme un renfort étranger, ndlr).»

«Pour Viktor, c’est une belle expérience», poursuit le papa. «Le jeu suédois ressemble à ce que vous connaissez en Suisse. Durant cette saison, Lugano le loue en Suède et pourra le rappeler n’importe quand. L’an prochain, il devrait rester au Tessin, où l’entraîneur des gardiens (Léo Luongo, le frère de Roberto, dernier rempart des Florida Panthers) est assez spécial. Il ne fait d’ailleurs pas que ça. Il est aussi le pilote d’Abramovitch, l’homme d’affaires russe! Sa force, pour les gardiens, c’est qu’il met l’accent sur le mental. Il donne confiance aux gars.»

Les méthodes ont évolué. «J’avais 27 ans lorsque j’ai eu mon premier entraîneur de gardiens», se souvient Östlund. «Aujourd’hui, les jeunes profitent des conseils de spécialistes dès leur plus jeune âge. Ils adoptent directement la bonne attitude. C’est important, pour un gardien, d’avoir un interlocuteur qui connaît ce domaine spécifique. Même à 35 ans. Léo Luongo est très dur, mais direct. Son approche diffère d’une majorité de spécialistes qui se contentent d’enseigner la bonne technique. Sylvain Rodrigue, l’entraîneur des gardiens de Gottéron, est de la même trempe.» Et l’ancien Dragon d’ajouter: «Je n’ai jamais poussé Viktor à devenir gardien. Il l’a d’ailleurs été pour la première fois sur la glace à 10 ans… Et Samuel, mon deuxième fils, joue au foot…» Pam
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Message par hs16 Mar 26 Aoû 2014 - 14:19

En découvrant la patinoire, j’avais cru qu’elle avait été construite dans les années soixante avant que j’apprenne qu’elle datait de 1981 ou 1982.

Laughing Laughing Laughing

Effectivement St Léonard n'a pas fini d'en surprendre plus d'un!

Il y a trop d’amateurisme et les gens font partie d’un comité parce que cela fait joli. Durant mon passage à Fribourg, il y avait trop de responsabilités confiées à une seule personne. Que ce soit dans le domaine du business ou celui du hockey. C’était l’époque de Marc Leuenberger et de Roland von Mentlen

Ca n'a pas franchement beaucoup changé...
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